1. Douce Aurore


    Datte: 18/03/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, couple, vacances, hotel, douche, Oral initff, couple+f,

    ... nez-à-nez, ou plutôt nez-à-dos, à 8000 km de la France. Sandrine, mon épouse, savait qui était Aurore. Je lui ai à peu près tout raconté de ma vie passée, de mes frasques, de mes joies et de mes peines. Ainsi nous n’avions rien à cacher et ça a facilité le climat de nos retrouvailles. C’est étrange ; j’ai d’abord vu Aurore de dos, mais je l’ai immédiatement reconnue. Sa silhouette était tellement ancrée dans ma mémoire qu’il m’est apparu comme évident que ça ne pouvait être qu’elle. Elle était au bar, debout, discutant avec le serveur. Je me suis placé juste à côté d’elle, et me suis tourné dans sa direction. Elle a senti une présence, et j’ai vu son joli visage s’éclairer quand elle s’est enfin tournée vers moi. Tellement émue qu’elle en a perdu la parole ; ses yeux rieurs se sont chargés de larmes quand elle a ouvert grands ses bras. Nous nous sommes serrés l’un contre l’autre un long moment, sans un mot, retrouvant nos odeurs, nos souffles, comme si nous ne nous étions jamais quittés. J’ai ensuite fait les présentations. Sandrine et Aurore se sont fait la bise et nous sommes restés tous les trois à discuter une partie de la nuit, nous remémorant nos escapades, nos amis de l’époque, nos luttes gauchistes, nos goûts musicaux ; enfin tout y est passé. Sandrine partageait notre conversation, visiblement heureuse que le bonheur d’avoir rencontré Aurore se lise sur mon visage. Aurore nous a raconté sa vie, compliquée, et son récent divorce. Elle a deux enfants, grands, et ...
    ... devait venir au club avec un ami mais ils se sont fâchés. Elle est quand même venue, mais seule, convaincue qu’elle allait s’ennuyer. Elle était ravie bien entendu de découvrir qu’il n’en serait rien grâce à nous. Il devait être quatre heures quand, fatigués, nous nous sommes quittés sur une bise et la promesse de nous revoir dès le matin au petit déjeuner. Sandrine ne voulait pas que nous nous endormions avant que je lui ai tout dit sur Aurore et notre aventure. Elle me connaît tellement bien, ma femme, qu’elle voit si j’oublie des choses, volontairement ou pas. Ses questions ne versent jamais dans l’inquisition mais elle est persuasive, tenace. Une fois lancé, je suis allé au bout. Je devais avoir les yeux qui pétillaient et parlant de ce corps magnifique que je n’avais jamais oublié. Sandrine m’a fait remarquer à plusieurs reprises que je parlais peu ou pas de sentiments, des discussions que nous avions eues ensemble sur tel ou tel sujet, de son âme ou de ses goûts, mais beaucoup de son corps, voire uniquement de ça. C’était totalement vrai. Ce qui m’avait intéressé chez Aurore, c’était son corps majestueux et unique, pas ses projets ou ses envies, pas ses goûts ou son avenir. C’est sans doute pour ça que nous nous étions perdus de vue. Sandrine n’a pas eu l’indélicatesse de me demander si Aurore était plus belle qu’elle, mais lorsqu’elle s’est dévêtue devant moi pour me faire admirer encore une fois sa grâce, je lui ai fait l’amour avec une grande tendresse, m’attachant à ...
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