1. Douce Aurore


    Datte: 18/03/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, couple, vacances, hotel, douche, Oral initff, couple+f,

    ... corps. Elle était très réceptive et elle m’a rendu mes caresses. J’adorais ça. Effectivement, elle sent bon ; sa sueur sent bon, sa peau est douce. J’avais envie que nous nous laissions aller à l’instant présent, et elle aussi. Nous avons fait l’amour.— Ha-ha, deux femmes… Il vous manquait quelque chose, non ?— Quel con tu fais ! Il ne nous manquait rien du tout. J’aime les hommes pour ce qu’ils peuvent me donner comme plaisir ; mais là, je peux t’assurer que nous n’avions pas besoin d’une queue. Une femme sait donner du plaisir à une femme, et pour peu qu’elle se laisse aller, elle sait aussi en recevoir d’une femme.— Oulala… Tu es devenue gouine ! lui dis-je pas provocation.— Hier soir, oui. Je ne la connais pas aussi bien que toi, mais j’ai tout vu de son corps. J’ai senti ses frissons, je l’ai fait jouir de nombreuses fois avec mes doigts et avec ma langue. Et j’ai pris mon pied moi aussi, comme rarement. Il nous restait dix minutes avant de partir ; je les ai mises à profit pour démontrer à mon épouse qu’avec une queue, c’est mieux. En tout cas, c’est ce dont je voulais me convaincre, mais je n’y suis pas totalement parvenu. J’ai joui rapidement, tout excité que j’étais, la laissant sur sa faim. Mais après tout, elle avait pris de l’avance la veille au soir. Nous nous sommes retrouvés devant le bus avec Aurore. Elle ignorait si je savais ou pas qu’elles avaient fait l’amour. Elle a dû rester dans le doute pendant tout le trajet. Sandrine s’est vite endormie, et Aurore ...
    ... peu après. Durant le voyage je les observais, imaginant leurs corps enlacés, leurs bouches jointes, leurs chattes en fusion. De sorte que pendant deux heures j’ai entretenu une gaule douloureuse, très douloureuse. Les visites dans le parc naturel ont été assez rapides et animées, de sorte que nous avons eu peu d’occasions de nous reposer. Le retour s’est déroulé comme l’aller. À dormir. Mais cette fois, je m’y suis collé aussi. Nous avons pris notre dîner comme la veille, à la même table. Les regards entre les deux femmes étaient empreints d’une affection qu’elles ne cherchaient pas à dissimuler. J’avais l’impression qu’Aurore me narguait en touchant Sandrine dès qu’elle le pouvait. Et ma femme n’était pas en reste, multipliant les allusions, se touchant innocemment en la regardant, ou lui passant la main dans le dos quand elles allaient chercher des plats. Les entrées terminées, Sandrine s’est levée. Je pensais qu’elle voulait aller chercher la suite ; mais au lieu de cela elle s’est approchée de moi, me regardant dans les yeux. — Mon chéri, je n’ai plus faim. J’ai envie de sexe. Elle avait dit cela suffisamment fort pour qu’Aurore entende, mais pas assez pour que les tables alentours le puissent. Je l’ai regardée, estomaqué, laissant traîner mon regard vers Aurore pour capter sa réaction. Mais Sandrine était décidée à mener la danse et ne m’a pas laissé le temps de répondre. Elle avait déjà tendu une main à Aurore pour qu’elle la suive, et elles se sont éloignées. De deux ...
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