1. Douce Aurore


    Datte: 18/03/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, couple, vacances, hotel, douche, Oral initff, couple+f,

    ... pas. Sandrine s’est retournée pour me lancer : — Alors, tu viens ou pas ? J’ai suivi comme un con jusqu’à notre chambre. Les femmes devant, bras dessus bras dessous. Voir Sandrine avec d’autres hommes, j’adore ; et plus elle se fait baiser, plus j’aime ça. Mais là, ce n’était pas pareil. Une femme. Une femme avec laquelle j’avais vécu, qui plus est. Et une très, très belle femme. La plus belle que j’ai jamais connue. J’étais perdu entre des sentiments contradictoires et j’ai failli faire demi-tour, les laisser seules. Ma curiosité l’a tout de même emporté et je suis entré derrière elles dans notre chambre. — Aurore, tu es toujours d’accord ?— Je ne sais pas si je pourrai.— Laisse-toi aller.— Je vais essayer. Je compris alors qu’elles avaient parlé avant de ça, et que sans doute Aurore connaissait maintenant mes travers candaulistes. Sauf qu’à l’époque où nous étions ensemble, cette tendance ne s’était pas encore révélée. Je n’avais jamais imaginé Aurore avec un autre, encore moins avec une autre. Pour la première fois je ne savais pas où me mettre. C’est debout dans l’entrée que j’ai assisté à leur effeuillage, sensuel, lent, découvrant petit à petit leurs corps de déesses. J’ai réalisé qu’en effet Aurore n’avait pas perdu son corps de jeune fille, ou plus exactement qu’en vieillissant elle était devenue encore plus femme, encore plus désirable. Aucune gêne dans ses gestes : de la grâce, de la volupté, et toujours cette souplesse et cette fluidité que je lui avais connues. ...
    ... Elles se sont embrassées, caressées, cajolées ; c’était à n’en pas douter un spectacle magnifique. Pas une scène de sexe animal, non : une danse érotique lente et graduelle où le plaisir des sens est à son paroxysme, où le plaisir de l’autre est à l’égal du sien, partagé et somptueux. Toujours debout, j’ai vu Sandrine s’allonger sur le ventre, et Aurore venir à genoux entre ses jambes écartées. Elle a enfoui sa langue entre les fesses offertes. Les fesses d’Aurore était au premier plan pour moi, toujours aussi belles, toujours aussi fermes. Elle avait gardé cet art subtil d’une épilation limitée, laissant quelques poils autours de son anus et le long de ses lèvres. L’envie de venir goûter ce joli fruit est montée très vite, mais je voulais les laisser s’aimer comme elles le voulaient, sans homme, sans moi. Sandrine a joui sous les caresses de son amante, râlant, soufflant, comme si une bite épaisse la déchirait. Aurore s’est laissée aimer elle aussi, me donnant le spectacle indécent de son offrande sans retenue, écartant grandes ses lèvres de ses mains pour accueillir la chaude langue baveuse de mon épouse déchaînée. Si « beau » a un sens, c’est celui-là. Il n’y a rien de plus beau que le plaisir partagé, fût-il exclusif du mien. Ça a duré longtemps, mais ça aurait pu durer des heures encore sans que je ne me lasse. Sandrine s’est retrouvée assise, le dos contre les oreillers, les cuisses écartées, Aurore dans la même position, le dos contre le torse de Sandrine. Aurore avait ...