1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (4)


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sorties en soirée. Elle ne savait pas encore que Sarah prendrait une telle importance dans notre séparation effective. J’arrive le lendemain soir aux abords d’une jolie villa et me gare. Michel me fait entrer. Sur le canapé, Sarah attend, vêtue d’une longue robe blanche, qui descend jusqu’au mollets, et des ballerines; pas une tenue de salope en tout cas... Elle a les bras nus, des cheveux longs, et quand je la vois, elle me rappelle une célèbre et belle actrice ! elle a autour de 28 ans, plus jeune que moi donc, elle est très mince avec une petite poitrine. Nous discutons un peu, je n’ose pas trop parler à Sarah, je montre mon appareil photo à Michel en sirotant une boisson. Alors que sous une apparence calme mon cerveau s’agite en se demandant comment la soirée allait basculer dans une ambiance plus caliente, les choses s’accélèrent : alors qu’elle n’avait quasiment pas pipé mot jusqu’ici, Sarah, aux côté de laquelle je suis assis, défait en quelques mouvements quelques boutons au bas de sa robe, et vient poser directement sa jambe sur la mienne, écartant largement la jambe opposée et découvrant ainsi sa chatte (très poilue - il y a vingt ans, la mode du tout épilé est encore très relative). " - Bon, et si tu t’occupais de moi ?" seront les premières paroles que Sarah m’adressera, en préambule à ce qui allait devenir, ni plus ni moins, une histoire conjugale de quatre ans. A partir de là, tout s’accélère. Je suis capable de raconter cette séance avec bien plus d’acuité que ...
    ... pour les précédentes, car il s’agit de moments qui ont été filmés, et dont je conserve l’essentiel des images. J’étais plus excité que je ne l’avais jamais été, tant cette fille comme la situation me plaisaient. Michel filmait, prenait des photos avec mon appareil, et de temps en temps, laissait sa caméra tourner sur un trépied tandis qu’il allait se masturber dans une autre pièce, nous "laissant continuer tranquillement" comme il disait. Son plaisir, en réalité, était avant tout candauliste. Sarah m’embrassait à pleine bouche, allongée nue sur moi, nous alternions 69, léchage de chatte, fellation, et corps à corps sexe contre sexe. Sa fougue, la manière qu’elle avait de me faire l’amour, me perturbait : nous étions au delà d’un libertinage, il se passait quelque chose de plus. Au bout d’un moment, Michel revenu, déshabillé, elle se soulève légèrement et prend mon sexe en main, qu’elle guide près du sien. " - Vas-y, met la dedans", intime Michel, sans ambages ni aucune chance de gagner un concours d’élégance avec une telle phrase. mcimvveh Sarah pose mon gland contre son vagin et s’empale, sans difficulté tant elle était mouillée, et moi dur comme une baguette de la veille. Inquiet et surpris, Je questionne : " - Sans capote ? ». " - Tu la mettras après, c’est plus joli sans, je filme un peu..." évacue t-il. Je me laisse faire, preuve s’il en est que quand un homme bande, son cerveau se déconnecte lamentablement. Sarah a donc continué à s’agiter sur ma queue; c’était fabuleux ...