1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (4)


    Datte: 19/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de coulisser dans son vagin chaud sinon étroit (elle était plutôt large de la chatte). Michel me demanda de bien écarter les fesses de sa femme pour pouvoir photographier son anus en gros plan, avec ma bite qui tambourinait entre les poils drus de sa moitié. " - Tu veux changer de position ?" me questionna la salope indiscutablement énamourée. Elle se place sur le côté, et moi derrière en cuillère. Elle me regarde dans les yeux et écarte ostensiblement ses fesses avec la main. Je n’ai toujours pas de préservatif, n’osant pas briser la dynamique du moment. Je l’encule très doucement, progressivement. Elle se retourne pour m’embrasser sur la bouche pendant que je vais et viens dans son anus. Lorsqu’aujourd’hui encore je regarde les images, il est évident qu’elle n’est pas seulement dans un amusement sexuel. Je suis, ce soir là, son homme. Après cette seconde pénétration, je reprends mes esprits et demande un préservatif - c’est un peu tard, mais mieux que rien, surtout vu la suite. Michel souhaite que je défonce le cul de Sarah, d’une manière bien plus vigoureuse, elle à quatre pattes, moi derrière elle. Il filme la queue entrant et sortant de l’anneau, tantôt en plaçant la caméra ou l’appareil photo sous mes fesses, tantôt en nous prenant de profil. Je lui baise énergiquement le cul, et n’y tenant plus, je sors, ôte la capote, et lui inonde littéralement le dos de foutre. Je m’en souviens comme d’une des meilleures jouissances de ma vie. Parmi les souvenirs tangibles qu’il ...
    ... me reste, les photos de michel du cul ouvert de Sarah, pas parfaitement clean après une telle bourrinade. La soirée n’est pourtant pas finie. Michel veut sa part; nous prenons un peu de temps pour recharger les batteries - pas celles de la caméra, qui est sur le secteur, mais les miennes. Je n’ai jamais eu de difficulté pour rebander assez rapidement, mais tout de même ! Nous papotons, buvons un coup, puis elle se remet à me sucer. Celle fois-ci, elle s’attarde aussi un peu sur mon anus, me lèche les couilles, et moi, qui ai glissé sous elle en 69, j’explore son anus avec mes doigts, essayant d’aller le plus loin possible, écartant le trou pour que Michel puisse le prendre en photo. Ensuite, elle se place au bord du lit, et lui donne sa croupe en continuant à me sucer. Il la baise; je ne peux m’empêcher de constater qu’elle n’y prend pas le même plaisir; son attention est sur moi, sur mon sexe, dans mes yeux. Cette nuit là, nous recommencerions encore, seuls, en abandonnant définitivement le préservatif : j’étais amoureux et à cette époque, la capote disparaissait très vite quand les sentiments apparaissaient. La chatte de Sarah accueillit finalement, dès cette première rencontre, le sperme que mes couilles avaient réussi à reconstituer depuis la première giclée sodomite. La soirée toucha à sa fin. Et là, la dernière surprise est de taille. " - Tu as envie de revenir la baiser? " me demande Michel. J’acquiesce, je n’ai même qu’une envie, c’est celle-là. La revoir. " - Viens ...