1. Marika - Scène de vie 4


    Datte: 26/06/2017, Catégories: Hardcore, Lesbienne Mature,

    D. Epoque 4Suite à ces incidents, ces dérives, ma séparation prononcée, je laissais Willy à sa véritable mère à son retour. Elle comprit qu’il était devenu un homme, me remercia, me tourna le dos…Ça me fit du bien sur le coup de mettre un peu de distance, d’oublier l’incident Willy…Je commençais alors un cycle infernal de ma vie que je n’ai jamais osé raconter, ou juste quelques bribes dans mes aventures xHasmteriennes.Le fait que Paul m’ait trompé, me mina.Au début, je voulais à tout prix me venger des hommes, mais je les désirais à en crever parfois, dans mes rêves au fond de mon lit.Je me mis à les chasser sans relâche, à les provoquer, surtout le week-end, vendredi ou samedi soir, je me sentais seule, inutile, Anne était loin en stage, Paul ne passait plus me voir, bien qu’il ait gardé le studio préparé à son effet dans la villa…Je fréquentais quelques bars en ville, les discothèques et clubs des environs, je draguais dans les jardins publics, à la plage, à la piscine près de chez moi, même dans les cinémas, enfin dès que j’étais dehors… J’allais une fois où le désir me tenaillait, jusqu’à téléphoner à Thomas, mon beauf, qui ne vint pas au rendez-vous, sans doute tenu en laisse par son cerbère…C’était facile, je n’avais qu’à paraître, me laisser approcher, parler quelques minutes, raconter ma triste vie d’épouse bafouée, délaissée, que j’en voulais à mon mari de m’avoir trompée. Je jouais avec eux pour les punir, les entraînais dans mon jeu de la séduction, jusqu’à leur ...
    ... voiture lorsque l’envie me tenaillait… Femme seule, mari volage, je leur racontais ce qu’ils aimaient entendre…Pour les plus selects, avec lesquels la conversation devenait intéressante et d’un niveau intellectuel correct, on allait à l’hôtel ou chez eux. Là, je me donnais comme avec Paul, c’était l’extase…Puis mes besoins grandirent… Je voulais plus d’originalité, voire de perversion…J’avais décidé de ne jamais les emmener chez moi, prétextant que mon mari me surveillait.Je connus des clubs pour adultes, mieux fréquentés. Les femmes venaient y tromper leur ennui, leur mari, c’était simple, direct et finissait dans un salon particulier, parfois à plusieurs couples.Je passais au second stade avec les club échangistes.Si on est là c’est pour baiser… Rapports en chaîne, devant témoins, à plusieurs, bisexuelles comprises…Soirées sado-maso, entre femmes, je goûtais à tout, me liais au minimum, par intérêt surtout.On me présenta ainsi à d’autres personnes, je devins ce que j’avais évité d’être, une call-girl de haut vol.Soirées dans la haute société avec des personnes en vue, des stars, des malades, tous riches…J’y trouvais mon compte, mais rentrais chez moi seule et triste.Ecarter mes cuisses devenait banal, je ne ressentais plus rien ou presque, aucun sentiment, ils venaient se vider dans une femme du monde bien habillée, propre, sensuelle, racée, pas trop bête, qui les distrayaient quelques heures…J’y côtoyais des jeunes filles, des secrétaires en mal de fin de mois, des épouses ...
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