1. Suis-je une salope ? (6)


    Datte: 20/03/2020, Catégories: Hétéro

    ... vais avoir besoin de ton aide. ― J’arrive. Au bout d’un instant il me rejoignit dans la cabine en prenant bien soin de refermer le rideau. ― Qu’est ce qu’il se passe ? chuchota-t-il. ― Tu peux m’aider à fermer la robe, s’il te plaît ? lui demandai-je en me tournant et en relevant mes cheveux afin qu’ils ne se coincent pas. ― Pourtant elle est accessible ! se moqua-t-il. T’es pas douée, dis donc... ― Ça va ! Tu peux m’aider, s’il te plaît, au lieu de me dire ça ? ― Et voilà ! Madame est servie ! me dit-il, ayant joint le geste à la parole. Elle te va super bien ; tu es toujours aussi belle... m’informa-t-il en me toisant de la tête aux pieds. Regarde-toi dans la glace. Je me regardai dans le miroir, ajustai certains détails, vérifiai qu’elle ne me boudinait pas, étant donné qu’elle était plutôt près du corps. Mais me retrouver seule avec lui dans un endroit très exigu avait un je ne sais quoi de troublant. Il a dû le sentir, parce qu’il mit ses mains sur mes hanches. De nouveau, je rougis puis, comme pour accompagner, les papillonnements se firent encore ressentir. ― Surtout ne dis rien... me chuchota-t-il au creux de l’oreille. ― Quoi ? murmurai-je, ne comprenant pas de quoi il parlait. Dans le miroir, je vis sa main relever doucement le bas de ma robe et la diriger sur mon leggins en direction de mon intimité. Je savais où il voulait en venir. ― Frantz, non, s’il te plaît, pas ici ! Je t’en prie… On va nous surprendre ! suppliai-je à moitié paniquée en chuchotant et lui ...
    ... attrapant la main baladeuse. ― Ne t’inquiète pas : avant de te rejoindre, j’ai donné un petit pourboire à la vendeuse pour ne pas qu’on soit dérangé... me susurra-t-il. Et puis, t’en fais pas : je suis sûr qu’elle en a vu d’autres. Il avait gagné, brisé toute résistance ; c’est vrai que j’en avais également envie, et mon entrejambe devint rapidement trempé. Sa main plongea sous mon leggins pour me caresser tendrement. Lorsque la pulpe de son doigt toucha mon clito, je me raidis  ; mes mains lui saisirent les fesses pour l’attirer encore plus contre moi, ma tête roula sur son épaule, mes yeux se fermèrent et j’éprouvai à ce moment-là toutes les peines du monde pour étouffer un feulement de bien-être et de surprise mélangés. Peu à peu, le bonheur me submergeait, le monde n’existait plus, mon amant me procurait trop de plaisir. Sa main libre me caressait le sein gauche par-dessus la robe, sa bouche me couvrait de baisers dans le cou  ; l’orgasme montait, j’étais stimulée d’une façon divine. Je me sentais mouiller ses doigts qui glissaient facilement sur mon petit bourgeon d’amour, j’avais mal tellement j’étais devenue excitée. Les clients autour de nous savaient peut-être ce qu’il se tramait dans la cabine en cet instant, ils pouvaient discuter et continuer leurs achats, je m’en fichais. L’orgasme arrivait  ; il allait être fort, et je ne pourrais pas m’empêcher de l’exprimer. J’attrapai sa tête pour l’embrasser comme une folle ; je soupirais, haletais, j’avais le regard dans le ...