1. Aveu


    Datte: 21/03/2020, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, fsodo, jouet, attache, yeuxbandés, fouetfesse,

    6 – Sadisme Ils se revirent lundi et mercredi soir. Jeudi, ils déjeunèrent ensemble mais Gilles dut retourner au travail et Élodie passa donc sa journée de repos seule. Ils ne se revirent ensuite que dimanche. Élodie s’était rendue seule chez Gilles et elle fut accueillie avec chaleur chez son maître. — Tu devrais porter plus souvent des jupes, lança Gilles qui, une fois de plus, était déçu de la découvrir en pantalon.— Je n’aime pas beaucoup les jupes, répondit Élodie.— Tu ne veux pas me faire plaisir ? demanda Gilles.— Si, et je le fais à chaque fois que je mets une jupe, mais je tiens surtout à ne pas me déplaire, répliqua Élodie en insistant sur le « me ». C’était donc un refus poli. Elle venait de lui dire poliment qu’il n’avait pas à se mêler de son habillement. Gilles fit la moue mais en fait, il apprécia. Élodie était peut-être soumise sexuellement mais dans la "vraie" vie, c’était une femme accomplie qui savait ce qu’elle voulait, qui n’avait pas besoin d’aide et qui savait parfaitement prendre soin d’elle. Elle ne faisait rien de contraire à ses volontés et ce même pour Gilles. Il le savait : s’il lui demandait quoi que ce soit de déplacé en temps que maître, elle partirait immédiatement. Il se demanda alors s’il lui manquerait et ne sut répondre à cette question. Élodie semblait heureuse de le voir mais est-ce lui ou son maître avec qui elle appréciait de passer du temps ? Gilles se posait toutes ces questions alors qu’Élodie lui racontait son trajet jusque chez ...
    ... lui. — C’est moi ou tu n’écoutes rien de ce que je te dis ? dit-elle soudain. Gilles, qui jusque-là, se contentait de hocher régulièrement la tête, eut l’expression de celui qui est pris la main dans le sac. — Désolé, dit Gilles, je… j’étais ailleurs.— Que réponds-tu si je te dis que tes regrets ne me suffisent pas ? dit Élodie en souriant.— Que si tu veux que je t’apporte la cravache pour me frapper, mon cœur, c’est sans problème, mais je doute que tu en aies envie. Élodie fit la moue puis lança : — En effet.— Ceci te convient-il pour me faire pardonner ? Il l’embrassa avec fougue, longuement, fouillant son palais et allant jusqu’à découvrir ses dents du fond. Lorsqu’il s’éloigna après de longues minutes de plaisir, Élodie souffla : — Hum… pas mal… Gilles haussa un sourcil accusateur et un peu menaçant. — C’était génial, dit Élodie en riant doucement. Gilles rit à son tour et les deux amants sortirent déjeuner au restaurant. Ils revinrent une heure et demie plus tard, le sourire aux lèvres car comme d’habitude, leur discussion avait été plaisante. Gilles proposa à Élodie de s’asseoir d’abord au salon et il lui tendit une feuille. Élodie la regarda et vit qu’il s’agissait d’un test sanguin datant de la semaine passée annonçant que Gilles était parfaitement sain. — Tu veux que je fasse de même ? demanda Élodie.— Oui, mais pas pour la raison que tu crois. Je sais que tu l’es, puisque tu donnes ton sang. Élodie lui lança un regard surpris. — J’ai vu ta carte de donneuse de sang ...
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