1. Communion


    Datte: 21/03/2020, Catégories: fff, hh, grp, fbi, hbi, jeunes, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, 69, fdanus, fsodo,

    ... étaient visiblement effectivement « en forme », et ce sont deux belles bites que je découvrais ainsi. Tout le monde se releva et on remmena guitare, Génépi et couvertures jusqu’à notre tente. Un peu derrière, Corinne me dit : — Eh bien, ma vieille, je crois que tu es arrivée à tes fins. Je ne t’imaginais pas en dragueuse de nana !— Je ne sais pas, répondis-je songeuse. Ce n’est pas moi qui ai déclenché les choses. J’en avais envie, mais je n’aurais sans doute pas osé. Tu as vu les garçons ?— Oui, et c’est la première fois que je vois deux garçons se faire des choses et je dois dire que cela m’a passablement excitée.— Mouais, p’têt’que Nora un peu aussi ? raillai-je. Dans la tente, Nora avait allumé les quelques lampes à batterie que nous avions. J’eus l’impression que chacun ne rêvait que d’une chose : retrouver le fil perdu de notre aventure commune. Au moment où je cherchai mon duvet, je m’aperçus qu’ils étaient étalés contrairement à tout à l’heure. Et lorsque je cherchai l’entrée du mien, j’eus la surprise de comprendre qu’ils étaient tous reliés ensemble par les fermetures. Comme il s’agissait des duvets de la colo, ils étaient tous identiques. On se retrouvait donc à six dans un grand lit moelleux. Nora se couchant remarqua : — Tu as eu une bonne idée, Héloïse : c’est plus confortable. J’éteins ?— Non, répondit Héloïse. Sinon on ne va rien voir ! Et elle me plaqua au sol dans un long palot, celui dont je rêvais. J’essayai d’aspirer sa salive, sa langue, ses dents mais ...
    ... à ce jeu, c’est elle qui gagna. Soudain j’eus l’impression que ce n’était pas la frêle Héloïse que j’imaginais, mais la grande ordonnatrice de la soirée. Me tenant les poignets, elle descendit, s’attardant sur mes tétons qu’elle mordilla. Cela faisait presque mal mais c’était bon. J’avais envie, moi aussi, de l’explorer mais elle me tenait toujours, sous le duvet. Je plongeai ma tête dessous et les effluves de son corps m’arrivèrent par vagues successives : sa transpiration, son cul, sa chatte ? Je me dégageai d’elle et tentai de la caresser. Moi qui rêvais de douceur, nous étions dans un combat amoureux. En me dégageant, je me retrouvai collée à Coco fesses contre fesses. Je ne savais ce qui se passait de son côté mais elle était visiblement en sueur. Son contact m’apaisa. Héloïse changea de tactique, elle défit une fermeture éclair de duvet et nous extirpa à l’air. Puis je la vis se tourner et elle vint à genoux me présenter son intimité que je voyais très mal mais que je devinais. Je caressai un moment ses fesses, goûtant le plaisir de ce moment de douceur. Puis elle se pencha et sa main vint me palper la vulve, semblant étaler ma mouille sur mon corps. Puis s’arc-boutant, elle s’écrasa sur mon nez et je reçus son sexe sur la bouche, ô doux objet de mes vœux ! Son goût amer et parfumé m’enchanta et je reconnus les effluves de tout à l’heure. J’introduis ma langue doucement dans tous les recoins, sentant soudain qu’elle aussi avait atteint son but. Sa langue toucha à peine ...
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