1. 666


    Datte: 21/03/2020, Catégories: h, fh, fffh, fhhh, couleurs, rousseurs, Collègues / Travail grosseins, forêt, campagne, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, facial, Oral pénétratio, fsodo, délire, humour, sf,

    Livre premier Albert regardait ses collègues. Il regardait surtout ses collègues féminines. Il ne pouvait que regarder des collègues féminines, vu qu’il ne côtoyait que des femmes dans son entourage immédiat. La grande salle de travail se divisait en cinq laboratoires indépendants. Les parois vitrées laissaient libre la vue sur les scientifiques en pleine activité. Tout en simulant un intérêt profond pour les bactéries placées sous son microscope, il reluquait ses voisines. Quatre voisines précisément. Amalie, une botaniste. Comme toute Norvégienne, Amalie était blonde comme les blés. Mais contrairement aux stéréotypes, petite aux petits seins. D’ailleurs tout était petit chez elle. Jolie, féminine, mais petite. Des yeux bleus timides en apparence. Albert la croyait timide jusqu’à ce qu’il croise un jour son regard égrillard posé sur lui. Il n’en revenait pas. C’était la plus jeune de l’équipe, vingt-cinq ans. Elle vérifiait en ce moment ses cultures et semis hydroponiques. Julia, une rousse incendiaire, écossaise. Médecin de son état. Grande avec des rondeurs appétissantes. Surtout très exubérante, ne crachant pas sur un verre de whisky. Ses grands yeux verts pétillants de malice. Elle se trouvait aussi être la plus âgée, elle dominait toute l’équipe de ses trente-trois ans. Elle compulsait il ne savait quels dossiers, analysant en même temps des prélèvements de sang, de cheveux et de sperme. Albert le savait, vu que l’échantillon venait de lui. Alhem. Biologiste, ...
    ... algérienne. Presque aussi petite qu’Amalie. Brune de partout. Cheveux bruns, yeux bruns, peau brune. Et un regard de braise. Regard noir arabica, tel était le surnom que lui donnait Albert. Secrètement, bien sûr. Elle s’occupait de ses souris. Elle caressait ces petites bêtes avec dévotion. Elle se promenait souvent dans le labo avec ses animaux, au grand dam de Linda qui avait une peur phobique des rongeurs. Et en dernier, Linda. Le fantasme d’Albert. Linda, la microbiologiste. Linda, la brune américaine aux yeux noisette, Linda à la silhouette de rêve, Linda au fessier qui aimantait les mains. Originaire de Boston, diplômée du M. I. T, une surdouée. Des fées s’étaient penchées sur son berceau, et surtout la fée des nibards. Elle reçut de ses marraines magiques l’intelligence, la beauté, la grâce, mais surtout une fabuleuse paire de nichons. Albert craquait sur les seins. Tous les seins, avec un faible pour les grosses poitrines. Et Linda était l’archétype de la femme de ses rêves. De cette attirance découlait tous ses malheurs. Albert était un érotomane compulsif. Non pas un harceleur, mais un collant, un sparadrap. Ses mains traînaient toujours plus ou moins innocemment sur une fesse, une hanche ou un sein. En plus d’être collant, il se targuait d’être le dernier des machos. Pour lui, la femme se devait d’être au service de l’homme. Elle devait être attentive aux désirs de l’homme. Lui préparer de bons petits plats, le bichonner, le chouchouter et entretenir la maison. Le seul ...
«1234...11»