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    Datte: 21/03/2020, Catégories: h, fh, fffh, fhhh, couleurs, rousseurs, Collègues / Travail grosseins, forêt, campagne, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, facial, Oral pénétratio, fsodo, délire, humour, sf,

    ... se masturbant frénétiquement. Il rêvait de Linda, de ses gros seins blancs aux gros tétons sombres. C’est du moins ainsi qu’il les imaginait. De gros seins qu’il eût volontiers caressés, embrassés, pétris, malaxés. Il se libérait en un cri muet de délivrance et de frustration, sa semence giclant un peu partout dans la chambre. Le matin, ses collègues plaisantaient de son air hagard, se moquaient de ses yeux cernés. — Alors Albert, encore sorti faire la bringue cette nuit ?— Petite mine Albert, ne surestimez pas vos forces.— Albert, je ne sais pas si vous allez tenir. Albert se contentait de sourire, penaud. — Si seulement, se disait-il, rien qu’une fois, les caresser rien qu’une fois. Depuis quelques mois, le samedi il obtenait une récompense pour les efforts fournis. La justice, dans sa grande sagesse avait admis que le malheureux Albert ne pouvait rester 912 jours en compagnie de très jolies femmes dans un lieu clos sans devenir zinzin. Aussi, au bout de 210 jours pouvait-il engager une relation charnelle avec une des quatre jeunes beautés. Sous certaines conditions. D’abord que la jeune femme soit volontaire. Que ce soit elle qui mène les débats, Albert ne devait ni agir, ni toucher. Il devait laisser la volontaire opérer. Amalie, la jolie petite Norvégienne s’était aussitôt portée candidate. Amalie n’avait qu’une seule obsession, le sexe ! Dès le début de leur séjour dans le laboratoire, elle se jura de déguster Albert. Pour éviter toute récrimination il fut organisé ...
    ... un tirage au sort. Ce fut elle qui l’emporta. Elle allait pouvoir « utiliser » Albert. Tout un cérémonial s’était instauré entre eux. Albert était allongé, nu, les bras le long du corps. Comme d’habitude, elle ouvrait lentement la porte de la chambre. Comme d’habitude, elle n’était vêtue que d’une longue chemise blanche. Comme d’habitude, Albert devinait ses courbes à travers le voile translucide. Comme d’habitude son érection commençait bien avant l’arrivée de la beauté blonde. L’idée même de la savoir derrière la porte lui donnait la trique. Elle attendait quelques instants au pied du lit, l’observant telle une chatte gourmande regarde un bol de crème. Elle relevait sa chemise, avec une lenteur délibérée. Guettant les réactions du mâle alors qu’elle dévoilait ses cuisses, son petit abricot au fin duvet blond, et ses deux petits dômes laiteux aux pitons rose tendre dressés. Ce qui se dressait au fur et à mesure du déshabillage de la jolie blonde, c’était le mandrin d’Albert. La jeune femme s’agenouillait sur le lit, et avec lenteur léchait, suçait, goûtait le sucre d’orge mis à sa disposition. Elle l’avalait, tantôt juste le gland, tantôt presque tout l’engin. Son nez venant se perdre dans la toison masculine. La bébête et ses siamoises d’Albert ressortaient de ces ébats trempée de salive. Parfois le scénario changeait. Elle posait d’office son nénuphar sur les lèvres d’Albert et prenait en bouche le vit. Albert se retenait de lui agripper les cheveux et de lui forcer les ...
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