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    Datte: 21/03/2020, Catégories: h, fh, fffh, fhhh, couleurs, rousseurs, Collègues / Travail grosseins, forêt, campagne, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, facial, Oral pénétratio, fsodo, délire, humour, sf,

    ... serions les derniers humains ?— … J’en ai bien peur, tsunamis, tremblements de terre, éruptions, hiver artificiel et j’en passe. J’espère qu’ils n’ont pas souffert. Les cinq survivants méditèrent quelques temps, silencieux. Et ils s’endormirent d’un sommeil agité. Dans les jours qui suivirent, Albert réussi à allumer un feu, ramena des lézards et un lapin-lièvre de sa chasse. De lourdes rancunes pesaient toutefois sur son cœur. Il en fit part à ses compagnes. — Dans la station, j’étais un condamné, maintenant il n’y a plus de justice qui tienne. Je suis le mâle, je rapporte la nourriture, je protège la grotte, je vais déblayer un terrain le long de la rivière et y cultiver ce que je pourrai. En contrepartie, vous ferez la cuisine, entretiendrez la caverne et irez ramasser des fruits. Et surtout, plus question de rationnement sexuel. Chaque semaine l’une d’entre vous vous viendra me faire un gros câlin. Chacune votre tour. Ce fût un tollé général. Impensable, intolérable, du chantage ! — Alors je me casse. Démerdez-vous avec le feu, les loups-renards et autres prédateurs. Après moult palabres, Albert se montra inflexible, au propre comme au figuré. Elles finirent par accepter. Il ne restait qu’eux cinq sur la planète, ils n’allaient pas se séparer. Tout heureux, Albert invita illico Linda à fêter l’événement. Cela faisait 667 ans, 212 jours et quelques heures qu’il attendait. Il embrassait délicatement la belle américaine. Un doux baiser sur les lèvres qu’elle apprécia. Il ...
    ... lui investit aussi la bouche, venant chercher sa langue. Il passa ensuite aux choses plus corsées. Albert commença par un cunnilinctus. Un mâle en rut peut être délicat. Bien que réticente, la belle américaine dût admettre que ce satané français savait y faire. Elle gémissait sous les coups de langue vicieux d’Albert. Son minou dégoulinait de bonheur. Seul petit bémol, la mise en hibernation n’avait pas arrêté la pousse de la pilosité. Ses quatre compagnes avaient entre les jambes des forêts vierges, des touffes de poils qu’il fallait écarter pour atteindre le sanctuaire. De véritables jardins suspendus qu’il fallait traverser pour arriver au jardin des délices. Surtout pas d’esthéticienne dans les parages pour se faire débroussailler le maillot. Les trois autres salivaient de partout. Amalie connaissait les facultés de cet homme à donner du plaisir avec sa langue. Il amena sa compagne aux limites de l’extase. Il s’arrêta juste avant pour venir lui masser les seins, lécher les tétons, nicher sa tête entre ces deux globes. Maintenant qu’il pouvait toucher, il ne s’en privait pas. Il s’allongea sur le dos et fit venir la jeune femme sur lui. Elle posa sa bonbonnière velue sur la tige dressée. Quand elle descendit dessus, elle laissa échapper un « Oh my god » qui fit plaisir à Albert. C’était elle qui procédait à son rythme, il se contentait de la caresser. Maintenant il pouvait caresser. Son rêve se réalisait, voir les magnifiques jumeaux frémissants devant ses yeux. Bien sûr, il ...
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