1. kary-25


    Datte: 21/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Madame Pénélope. Je savais qu’à partir de là ma vie ne serait vraiment plus pareil comme avant. Je pouvais sûrement encore me servir de mon véto pour sortir de cette relation avant que cela n’aille trop loin, mais si j’osais seulement l’évoquer peut-être que Madame y mettrait fin. Tout cela me faisait peur, mais les sensations profondes qui m’habitaient et le bonheur que je retirais de cette situation hors du commun qui m’enivrait au plus haut point me forçait à accepter ma place auprès de Madame. Je n’envisageais plus de vivre une seul journée de ma vie sans toute cette intensité qui caractérisait le rapport de pouvoir entre moi et ma déesse. Elle a finalement lâché mes seins et est retourné s’assoir. -Merci Madame de me permettre de devenir meilleur pour vous… Je vous appartiens et je vais me dépasser pour votre plaisir. Je vous aime Madame. Les yeux de ma Maitresse se sont illuminés. J’ai senti sa fierté, son bonheur de me posséder. Du coup j’étais heureuse de lui faire ainsi plaisir. Oui, j’étais heureuse quand je lui faisais plaisir et je ressentais une forme de bien être lorsqu’elle me donnait un ordre ou me faisait faire un nouveau défi. J’étais heureuse lorsqu’elle m’humiliait, me procurait ...
    ... de la douleur ou qu’elle se servait de moi. Je suis incapable de comprendre pourquoi, mais j’aime être soumise. Encore plus, j’aime être une esclave et tout simplement obéir, souffrir, n’être qu’un objet que l’on utilise. Combien de fois je me suis demandé si j’étais normale. Mais j’ai arrêté de me poser la question. C’est comme cela, c’est tout. La seul chose dont je suis certaine et que je comprends, c’est que si je mets fin à ma relation avec Madame je ne serai plus jamais heureuse. Alors même si parfois cela est difficile, je veux continuer d’appartenir corps et âme à cette femme que j’aime plus que tout au monde. J’aime tout simplement être à elle… Et elle m’a fait un petit discourt pour me donner les nouvelles consignes en accord avec mon nouveau statut de soumise total. Entre autre les domestiques étaient averti que pour eux j’étais ni plus ni moins qu’une petite chienne, un animal de compagnie pour Madame et qu’il devait me traiter comme-t-elle. Moi je devais leur témoigner du respect au même titre que Madame, sans aucune familiarité. Avant lorsque je venais chez Madame à titre de Karine les domestique avaient pris l’habitude de me vouvoyez et de m’appeler Madame. Mais ce temps était révolu… 
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