Mon voisin a vu ce qu'il n'aurait pas dû voir (2) - Histoires de Sexe

Mon voisin a vu ce qu'il n'aurait pas dû voir (2)

... très bien préparé quand nous étions sur la table de travail. Je ne cessais de vouloir l’embrasser, c’est moi qui lui tenais la tête et qui ne lui laissais pas le temps de parler, je voulais sentir sa langue dans ma bouche, je voulais lui montrer au combien j’étais offert à lui. Maintenant il commençait à aller et venir en moi, de temps à autre, il glissait une noix de salive pour bien lubrifier. Avec les coups de boutoir de plus en plus puissants, il était en train de me donner du plaisir, je me sentais de plus en plus à lui. Claude venait de me faire découvrir la femme qui dormait en moi, le pire c’est que manifestement cette femme aimait le sexe. Bref ce soir j’étais en train de réaliser que je suis à voile et à vapeur et que sans l’intervention de Claude, je ne l’aurais jamais su. — Tu as l’air d’aimer ça ma petite chienne. — Il n’y a pas à dire, tu aimes te faire mettre. — Je vais faire de toi ma femelle et à chaque fois que tu viendras à la campagne, nous prendrons du plaisir tous les deux. Au fond de moi, j’étais en train de me dire que je n’étais pas sûr que ma femme apprécie ce genre de planning. Claude était toujours entre mes jambes, et c’est moi qui donnais le rythme de ses allées et venues en moi, avec mes jambes. Cela me faisait tout drôle d’embrasser cet homme, qui quelque part m’avait imposé la chose et en même temps était en train de me donner un plaisir avec son sexe. Vu comment Claude était doux avec moi je ne voyais vraiment aucun inconvénient de me faire ...

... prendre comme une femme chez lui, heureusement qu’il n’y avait personne pour me voir dans une telle tenue et une telle position. Je tenais maintenant fermement Claude entre mes jambes, alors que lui me tenait de la même façon au niveau de ma taille entre ses mains. Maintenant ses coups étaient plus puissants et plus rapprochés, je savais qu’il n’allait plus tenir longtemps avant de se vider dans mes entrailles. Ce sexagénaire avait vraiment la santé, il me serrait maintenant très fort contre lui, j’avais vraiment le rôle de la femme à ses yeux. Ça y est je sentais son sexe se contracter, il était en train de commencer à me féconder, pour ma première sodomie je n’ai ressenti aucune douleur. Il a continué à aller et venir en moi de longues minutes, le temps de se vider complètement les burettes, je faisais exactement la même chose avec mes partenaires féminines à ces occasions. Au fond de moi j’étais un peu fier d’avoir fait éjaculer en moi un homme me désirant, je venais d’entrer sur le marché des femelles désirées. Cela me faisait tout drôle d’imaginer que j’allais désormais entrer en concurrence avec les femmes en chaleur. Claude avait maintenant cessé de me limer, il me gardait fortement plaqué contre lui pendant qu’il reprenait ses esprits. Il était avec moi d’une douceur sans égal, j’aurais voulu que ses caresses ne s’arrêtent pas. — Tu es vraiment un bon coup ma belle. Il allait falloir que je me fasse au fait qu’il parle de moi au féminin, tant que cela était entre nous ...