1. Les démons de Noémie (12)


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... touchera pas ! », fit André en riant. « Il habite dans le village ? » « Non, dans la ville à côté. » Il lui écrivit l’adresse sur un bout de papier. Noémie ne voulut pas y aller maintenant. Elle devait d’abord s’aérer et vider son esprit. Elle partit faire un tour au bourg à pieds. Sa petite robe tournoyait avec le vent. La belle asiatique marchait à pas lents, profitant du temps et du calme. Sa tête était encore remplie de toutes ses découvertes. Elle devait donner un sens à tout ça. Après une bonne vingtaine de minutes, elle arriva enfin au bourg, désert à cette heure-ci.. Il s’agissait d’une immense place rectangulaire avec en son centre une fontaine. Des arches sur sa gauche ornaient les commerces de vêtements, les épiciers, bouchers, etc. En face, la mairie et la poste. Sur la droite, la poissonnerie de Vigouroux, un tabac et un bar. Elle flâna un peu, regarda les devantures de magasins. Soudain, elle sentit une présence dans son dos. « Salut, toi. Qu’est-ce que tu fous là ? », dit une voix masculine avec beaucoup de mépris. Noémie se retourna brusquement. C’était Denis, un ancien ami d’Olivier. Un homme gras, bedonnant, bouffi avec des cheveux blonds peignés en arrière. Sa peau était très foncée et faisait ressortir ses yeux bleus. Il avait une fine bouche et un nez énorme et large. Il portait une chemisette blanche déformée par son énorme ventre et un pantalon noir. A ses pieds, des chaussures de sécurité noires. Ce type avait donné la nausée à la jeune asiatique ...
    ... depuis leur première rencontre, il y a trois ans. Il l’avait draguée sans vergogne, dans le dos d’Olivier. Elle lui avait fait bien comprendre alors qu’elle méprisait son attitude et n’était pas du tout intéressée. Et ses employés avaient fait de même, ce qui avait alors déclenché sa colère. Elle avait eu des propos extrêmement violents envers eux et leur patron, pleinement justifiés. Olivier s’était alors brouillé avec lui et avait rompu les ponts. Et là Denis se tenait devant elle. Il avait une lueur étrange dans les yeux. Et Noémie comprit vite, en sentant une grande chaleur envahir son bas-ventre, ce que voulait cet homme. « J’ai parlé à Vigouroux. C’est un petit village, tu sais... » A ses mots, Noémie se figea. Évidemment, ce gros porc avait parlé d’elle. A combien de personne ? « Enlève ton soutif et ta culotte. », ordonna-t-il brusquement. Noémie, coincée entre lui et un mur, le regarda, pétrifiée. Elle sentit sa chatte s’humidifier instantanément et était encore plus excitée que d’habitude. Elle le regarda et obtempéra. Denis récupéra les sous-vêtements et les glissa dans sa sacoche. Puis il releva la robe au-dessus de la taille de la jeune asiatique et caressa la fente humide d’un doigt. Noémie écarta un peu les jambes. L’homme avança son doigt jusqu’à l’entrée du vagin. La belle asiatique frissonna, ses yeux brillants plantés dans ceux de Denis. Sa cyprine dégoulina entre ses jambes et elle se mordilla les lèvres. Il enfonça un peu plus et la belle gémit doucement. « ...
«1234...11»