1. Les démons de Noémie (12)


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Bon, c’est pas fini, ma grande. On va aller faire un tour au boulot, hein ? ça va te rappeler de bons souvenirs avec mes gars. Tu te rappelles comment tu leur parlais ? Ils vont être ravis de te revoir avec de meilleures dispositions... », lâcha Denis. Noémie réajusta sa robe et ils quittèrent le bourg. La belle asiatique était encore en feu. Arrivés à un parking, Denis se dirigea vers un énorme 4X4 gris. Au moment de prendre place, Denis remonta la robe de telle sorte que le sexe de la jeune philippine fut découvert et à la vue de tous, une fois assise. Il s’installa au volant et démarra. Sur la route, il entreprit de doigter la jeune femme tout en conduisant. La belle écarta ses jambes dorées et guida la main jusqu’à sa fente. Denis enfourna deux doigts et commença à masturber la jeune asiatique qui poussa un long gémissement et s’ouvrit encore plus, en se tenant à l’appui-tête. « Putain, incroyable... Une vraie nympho », marmonna-t-il. « Il avait pas menti, l’autre enfoiré... T’es une vraie petite pute, j’aurais du m’en douter... » Il continua de la branler violemment, en conduisant. Ils doublèrent un camion sur une double voie et le chauffeur klaxonna en voyant le spectacle. Plus loin, à un feu, le véhicule s’arrêta à leur hauteur, sur la voie de droite. Denis, avec un air conquérant, le regarda. Il ordonna à la belle philippine de baisser les bretelles de sa robe. Soumise, elle obéit et caressa ses seins devant le chauffeur ébahi et ravi. Puis, après avoir jeté un regard ...
    ... enfiévré à Denis, lui fit sortir ses doigts, enfourna trois des siens et se branla violemment en fixant le routier qui n’en perdit pas une miette jusqu’à que le feu passa au vert. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent devant l’usine que dirigeait Denis, une fabrique de pièces pour tracteurs. Sur le parking, une place était réservée au directeur et il y avait sept véhicules garés. En face, un immense bâtiment gris, avec des fenêtres hautes. Au dessus de la porte d’entrée était inscrit le nom « Denis Leclercq ». Ils entrèrent et se tinrent au milieu de l’atelier. Denis siffla et frappa dans ses mains pour attirer l’attention de ses employés. Malgré le vacarme des machines-outils, les hommes s’arrêtèrent progressivement et regardèrent leur patron et son « invitée ». Noémie connaissait bien cette usine. Elle l’avait déjà visitée avec Olivier et Denis. Elle regarda autour d’elle et constata que rien n’avait changé. Un énorme atelier, froid et gris, où chaque bruit résonnait terriblement, un sol graisseux et noir. Toutes les machines étaient à l’arrêt et chaque ouvrier avait les yeux rivés sur elle. Elle les connaissait tous. Ils la regardaient avec surprise et interrogation. Elle sentit une excitation incroyable et tout son corps frissonna d’un coup. Sa cyprine dégoulina sur ses jambes dorées. Denis la maintint droite en se plaçant dans son dos. Les employés, intrigués, se massèrent à quelques mètres. Le gros patron abaissa les bretelles de la robe et dévoila les seins de la ...
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