1. Les démons de Noémie (12)


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... belle asiatique, à la vue de tous. Il les agrippa et les malaxa en pinçant les tétons dressés. « Ah ouais... J’adore... », dit-il. « Putain de beaux nibards, hein les gars ? » Les types se regardèrent entre eux, incrédules. Ils parlèrent en la montrant du doigt, en riant, ou avec un air plus dubitatif. Denis continua de faire descendre la robe qui tomba au sol. Noémie se tenait totalement nue devant le patron gras et ses employés. Il la cambra et la fit s’appuyer contre une fraiseuse grise à leur droite et passa ses doigts sur la fente inondée puis caressa tout son corps sans ménagement. Il claqua ses deux fesses alternativement. La belle métisse frissonna. Elle dévisagea les voyeurs, tous en bleu de travail : huit types qu’elle connaissait bien. De gauche à droite, elle reconnut Bernard, un gros bonhomme chauve avec d’épaisses lunettes ; Didier, un grand très sec, le visage creusé et très dégarni, Gérard, petit et énorme, roux avec de la barbe ; Sylvain, taille moyenne et très gros avec un goitre, Thierry, tout petit avec les cheveux en brosse, blond, des dents noires ; Aziz, grand, brun, avec une énorme moustache et quelques dents manquantes ; Karl, un gros bonhomme rougeaud et un jeune très maigre et grand, avec des oreilles décollées et un bouc qui s’appelait Kévin. « Je vais te baiser et si t’es sage, je les laisserai te finir, ma belle.», lâcha Denis. Il la cambra encore plus, la plaquant pratiquement sur la machine et lui fit écarter les jambes en faisant pression ...
    ... avec son pied droit. Noémie entendit le « zip » de sa braguette et, quelques secondes après, sentit la bite de Denis entrer en elle. Le gros blond s’enfonça lentement, en se tenant aux hanches de la jeune asiatique. Elle poussa un petit gémissement et se pinça les lèvres. « Regarde-les ! Regarde mes gars qui me voient en train de te baiser comme une chienne ! », lui ordonna-t-il. Elle releva la tête, et fixa les hommes de l’autre côté. Sous les coups de butoir violents de Denis, elle cria, avec sa belle bouche grande ouverte. Le gros ventre venait s’écraser contre sa peau et l’ancien ami d’Olivier la défonçait maintenant avec ardeur. Les ouvriers bandaient terriblement et se caressaient par-dessus leurs bleus. Ils avaient des sourires pervers et des moues d’admiration. Denis la baisait bien à fond et la petite philippine hurlait de plaisir. « Tu fais moins ta fière, hein salope ? Tu nous regardais de haut, il n’y a pas si longtemps... On était des merdes pour toi.. Des loosers... Ben regarde ce qu’il te met le looser, hein ? Je savais bien que t’étais une putain de salope chinetoque, toi... », hurla-t-il, sous les applaudissements de ses employés. « On va te mettre à fond, salope... Je vais d’abord bien te défoncer et je filerai les restes aux autres. On va te faire gueuler, petite pute ! » Il la laboura de toutes ses forces, en la tenant par les cheveux, l’obligeant à toujours regarder les voyeurs. Elle hurla de plaisir et passa sa langue rose sur ses épaisses lèvres en fixant ...
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