Les démons de Noémie (12) - Histoires de Sexe

Les démons de Noémie (12)

... cria-t-il. C’était Aziz qui arrivait rapidement vers la belle philippine et ses collègues. Il se mit à côté de Bernard. Ce dernier enfonça encore le manche de quelques centimètres et arracha des gémissements à la jeune asiatique. L’autre déboucha le pot de vaseline et tartina l’entrée de l’anus. Noémie regarda avec un mélange de frayeur et d’excitation extrême. Qu’allait-il faire ? Aziz sortit un gros tournevis de sa mallette. Le manche était très large, bien plus que celui du marteau. Il l’enduisit de vaseline et commença à le rapprocher du trou luisant. La jeune femme frémit à ce contact, eut un petit spasme et finit par se détendre. Aziz amorça une lente intromission de l’objet dans l’anus tandis que son collègue branlait à présent la belle avec son marteau. Kévin lui retourna la tête d’un coup sec et lui roula une pelle. Autour, Karl, Sylvain, Gérard, Didier et Thierry se branlaient devant le spectacle. Ils attendaient de pouvoir eux aussi profiter de la femme qui les avait humiliés auparavant. Aziz enfonça le manche jusqu’au milieu et entama des lents va-et-vient. Noémie était en transe et gémissait très fortement. Plus elle haletait, plus les hommes enfonçaient encore un peu plus les outils. Kévin lui claqua les seins et elle cria. Les deux autres la pilonnèrent alors avec le marteau et le tournevis enfoncés à fond dans les trous dilatés. Elle secouait sa jolie tête dans tous les sens, son corps pris de spasmes sous les coups de boutoirs. Ils la défoncèrent encore cinq ...

... ou six minutes avant de retirer les objets et de les remplacer par leurs bites. Bernard s’enfonça dans la chatte et Kévin prit le trou élargi et encore plein de vaseline. Il progressa sans mal et la ramona brutalement à l’instar de Bernard. « Allez salope, vas-y ! Prends bien ma bite dans ton cul ! », hurla le jeune. « Elle a une bouche de suceuse, faudrait en profiter non ? », fit Bernard à l’attention de ses collègues. Ils la ramenèrent au milieu de l’atelier. Karl avait mis à terre un tapis épais. Il s’installa sur le dos et Noémie le chevaucha. Elle s’allongea sur lui et présenta son petit trou à qui le voulait. Bernard s’y engouffra et Sylvain colla sa bite dans la bouche ouverte de l’asiatique. Le gros la pilonna de toutes ses forces et la sueur s’écoulant de son front tomba sur les fesses en feu de la belle. En dessous, Karl lui défonçait la chatte à toute vitesse. Dans sa bouche, le grand ouvrier bourrait sa gorge jusqu’à la nausée. Elle avait du mal à respirer mais avalait avec ardeur cette grosse queue odorante. Elle vit alors, au loin, dans un coin de l’atelier, Denis avec son portable qui filmait. Et comprit à ce moment que rien n’était du au hasard. Kévin relaya Bernard. Son membre n’eut aucun mal à entrer jusqu’à la garde tant le trou était lubrifié. Il décida, alors, d’enfoncer deux doigts en plus de sa bite. Noémie cria de surprise et retourna sa jolie tête brune. Le jeune sourit et avança encore plus ses doigts. Puis il l’encula de toutes ses forces, tirant ...