Les démons de Noémie (12) - Histoires de Sexe

Les démons de Noémie (12)

... des cris stridents à la belle, vite étouffés par les bites des autres ouvriers qui se relayaient pour se faire sucer. Kevin se retira et Aziz prit le relais. « Bon sang, quelle salope ! Elle va bien nous vider les couilles, la gamine ! », dit-il. « Ouais ! Oh ouais, bien à fond dans ta chatte, sale pute ! », hurla Karl. « Tu fais pas ta maline, hein ? Bien prise par tous les trous, là.... On te baise bien, salope ? T’aimes ça qu’on te bourre comme une chienne ? Putain, il y a quelques années de ça... ». Autour, les autres l’insultaient aussi et se branlaient en attentant leur tour. Sylvain prit la suite de Kévin et encula la jeune femme à fond. Le cul dilaté et lubrifié accueillit la bite sans résistance et Noémie avait moins de sensations et gémissait faiblement. Vexé, il décida de se retirer. Il partit chercher le marteau et le tournevis, enduisit les manches de vaseline. Il commença par enfoncer celui du marteau dans l’anus, puis, lentement, celui du tournevis, juste quelques centimètres. Noémie étouffa un cri et eut un spasme. Il les fit coulisser alternativement et les enfonça un peu plus. Karl s’était arrêté et regardait, ahuri. Plus personne ne parlait. Ne résonnaient plus dans l’usine que les cris de la jeune philippine. Puis Sylvain la releva et la plaqua violemment contre une des machines. Il la cambra et lui écarta les jambes sans ménagement. Il lui maintenait la tête de profil, contre le métal froid. D’un coup sec, il pénétra sa chatte et la lima comme un ...

... forcené. Surprise par la vitesse et la violence du grand ouvrier, Noémie frissonna et cria à pleins poumons. L’autre, une main qui se cramponnait aux fesses dorées, défonçait l’orifice inondé aussi rapidement qu’il pouvait. Il la pilonna trois ou quatre minutes puis céda sa place à Gérard. « Allez, salope, monte-moi comment tu gueules... », fit-il avant de la baiser brutalement. La jeune femme hurla de plaisir. Gérard s’en donna à cœur joie. Il avait toujours détesté l’attitude dédaigneuse de la compagne d’Olivier mais avait toujours eu envie d’elle. Et là, il pouvait enfin assouvir ses désirs. Thierry lui mit la main sur l’épaule. « Laisses-en un peu aux autres, hein ? » Après d’ultimes coups de reins violents, l’homme se retira au profit de son collègue qui enchaîna rapidement. Noémie avait l’anus en feu, douloureux, et la chatte maltraitée depuis un long moment. Elle avait déjà eu deux orgasmes et cela montait encore. Tout son être réclamait ces queues et cette baise sauvage et humiliante. Didier reprit la suite de Thierry et balança deux énormes claques sur les fesses de la belle métisse et enfourna sa queue dans l’anus dilaté. Il l’encula à fond, pendant de longues minutes, puis enduisit sa main de vaseline et enfonça quatre doigts dans le cul de la belle qui hurla. Il la pilonna ainsi quelques minutes et remit ensuite sa queue et la sodomisa à nouveau à très vive allure. Noémie cria de plaisir et encouragea tous les hommes à la prendre. Aziz la ramena vers la table et la fit ...