1. Famille, je vous aime 8 (Vu sur le net)


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... une autre femme?Non, l'occasion s'est jamais présentée. Et puis au village, il n y a pas grand monde!Tu te rappelles? Quand on était jeune? On se touchait souvent, toutes les deux! On s'est même léché une fois, si je me souviens bien!Elles sont si différentes, collées l'une à l'autre, nues, ventre contre ventre touchant ces corps qui ont bien changé depuis l'adolescence!Annie est devenue une grosse vache, c'est le terme idoine pour la décrire d'un mot! Elle est grosse de partout, grasse même tant les chairs sont flasques. Son ventre n'est qu'une succession de bourrelets tombant sur le pubis. La chatte est monstrueuse tant par sa taille que par sa forme avachie. Les lèvres de son sexe, comme un coquillage, s’ouvrent, disjointes, sur un vagin qui n'est qu'à un sac à foutre! Les cuisses énormes reposent sur deux jambonneaux qui servent de mollets! Un vrai tas de viande sur pattes! La blancheur de la peau accentue cette impression de bestialité.Martine, c'est l'inverse! Un corps de déesse! Grande, élancée, la peau cuivrée rehaussée par les marques blanches de maillot. Les seins, les hanches, les fesses, les jambes, tout est parfait. Pas un seul soupçon de cellulite, une peau satinée et ferme à souhait. Ses déficiences intellectuelles sont compensées par un physique de reine. Une justice de la nature, en quelque sorte!Prises par leur propre désir, Annie et Martine roulent au sol, enlacées. Leurs mains se faufilent entre les cuisses à la recherche des intimités. Elles se ...
    ... retrouvent naturellement tête-bêche, Martine à califourchon sur son amie. Les doigts pénètrent dans les chattes, triturent les anus, les forçant pour y pénétrer plus profondément. Annie n’est pas lavée depuis le matin, ses muqueuses sont imprégnées du sperme de Dick, le chien, qui l'avait saillie l'après-midi. De son cul exhale une odeur forte qui taquine les narines de Martine. Pas dégoûtée, excitée même par ce parfum, celle-ci lèche soigneusement le périnée et l'anus, pointant la langue pour l'enfoncer dans le trou. Elle s'affale sur la bouche d'Annie qui, de son côté, lui travaille le fion. Deux chiennes en chaleur, sans aucune retenue. Leur plaisir monte, elles veulent jouir! Elles râlent comme des bêtes, indifférentes à ce qui se passe à côté. Elles échangent des propos salaces qui accroissent leur jouissance.salope, espèce de pute, vicieuse, vieille sale, cochonne fusent. Lorsque le plaisir est à son comble, elles jouissent en poussant des cris de bêtes en rut!Leurs ébats ont captivé les jeunes qui forment un cercle autour d'elles. Marc et son amie Claude se tiennent enlacés et se bécotent tandis que Béatrice, à genoux, lorgne le cul de Martine. Putain, quel beau cul! L'envie de le brouter à son tour la taraude. Elle ne peut s'empêcher d'y passer sa langue, lorsque les deux femelles, enfin rassasiées, relâchent leur étreinte. Puis elle fait une langue à sa tante, le visage gluant de la mouille de Martine.Dieu, que vous êtes belles, toutes les deux!Ne me dis pas, petite salope, ...
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