1. Famille, je vous aime 8 (Vu sur le net)


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... que tu veux te faire Martine?Tatie, ne sois pas jalouse! J'ai envie de lui bouffer le cul, je suis toute mouillée à l'idée!Martine se redresse et toutes les trois s'embrassèrent, échangeant leurs salives, serrées les unes contre les autres.Claude pris par l'ambiance qui régnait, se lovait comme une chatte contre Marc. Elle avait ôté le pantalon de Marc de manière qu'il pût écarter les jambes et qu'elle dégageât le sexe qui dardait sous ses yeux. Elle aimait cette tige de chair gonflée de sang qui palpitait dans sa main. Elle tira doucement sur le prépuce pour décalotter entièrement le gland rouge sang. Il était parfait, bien renflé à la base, coiffant largement la verge, ce qui, lorsqu'il forçait son anus, augmentait son plaisir au passage du sphincter. Elle en était amoureuse et ne se lassait pas de regarder et de jouer avec. Elle adorait sentir les frémissements de Marc que l'intensité des caresses exacerbait.Elle ne voulut pas le faire attendre davantage. Elle entreprit alors une fellation, douce et longue. Elle était une experte, elle le savait depuis longtemps. Combien de mecs avaient profité de ses talents! Sa langue, tantôt papillonnait sur le gland, à petits coups, s'attardant sur le filet, tantôt s'enroulait autour de la verge en la massant. Puis elle prenait entre les lèvres le bout turgescent et le suçotait comme une friandise, et le frottait sur ses lèvres ou sur les muqueuses de ses joues. Lorsqu'elle avalait la bite, jusqu'aux couilles, au fond de sa gorge, les ...
    ... mecs, en général, s'activaient. Elle aimait être prise dans la bouche comme dans son cul. Lorsque, n'y tenant plus, ils déversaient leur sperme sur sa langue, elle le faisait tourner dans sa bouche pour bien s'imprégner du goût avant d'avaler. Elle était une pompeuse née! C'était le supplice qu'endurait Marc depuis un moment, tout à son plaisir égoïste. Claude était soumise de nature et se prêtait à tous ses caprices. Il était son mâle, elle était sa femelle, aux ordres!Allez, continue, fais monter de jus de mes couilles, mets un doigt dans mon cul, branle le petit trou de ton chéri! Tu vas voir le paquet que je vais lâcher! Surtout n'avale pas tout! Je veux boire mon jus aussi! T'es prête? Je vais lâcher la purée!Il déchargea dans la bouche de Claude, comme une bête. Il donnait des coups de boutoir comme il l'eut fait dans un vagin ou un rectum. Son sperme jaillissait, chaud, épais, par longues saccades. Claude faillit s'étouffer sous la dernière giclée lorsqu'il s'enfonça au fond de sa gorge, maintenant sa tête pour qu'elle ne se dérobe pas. Le gland touchait la glotte et elle sentit monter les larmes.Elle était sa femelle et il la possédait. Il retira enfin sa pine encore raide et gluante, lui barbouilla le visage et se pencha pour embrasser cette bouche, véritable sac plein de foutre. Ils partagèrent la semence, bouches et langues mêlées. Il aimait son sperme et regrettait de ne pouvoir se sucer lui-même! Claude se serrait amoureusement contre son mâle, la tête posée sur ...
«12...456...»