1. Une tranche de vie 7


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... m’enfoncer en elle. À peine entré, elle se cabra pour m’accueillir au plus profond d’elle. Al : « Oui, remplis moi, baises moi fort, je veux te sentir me prendre » Je soulevais ses jambes qu’elle mit sur mes épaules et se cramponnant aux bords de la table je la pénétrer fortement, ce qu’aux sons qu’elle émettait lui convenait parfaitement. AL : « OUIiiiiiiii, continues, ralentis un peu, je vais partir » Encore quelques aller et retour et la pression étant tellement grande et ne pouvant plus tenir elle sentit que j’allais tout lâcher, elle se cambra de nouveau et sentant que je me vidais, elle s’ouvrit encore plus largement pour m’accueillir entièrement en lâchant un gémissement de contentement. AL : « C’était bon, mais tu aurais du tenir plus longtemps, j’étais bien partie, mais c’était bon. Je dirais peut mieux faire » Nous allâmes dans notre chambre et après avoir tiré les draps AL enleva ses escarpins et se laissa tomber sur le lit telle qu’elle était vêtue. Je me couchais et nous fermâmes la lumière. Aussitôt, elle vint se coller contre moi. Je sentais ses seins contre mon dos son ventre contre mes fesses elle incéra une jambe entre les miennes et une main s’empara de mon sexe nettement mou. Elle commença à me caresser, non plutôt à m’effleurer la tige, doucement avec le bout des doigts. Elle remontait vers le gland. De façon à rendre cette caresse plus agréable, plus excitante elle lécha ses doigts et revint m’amuser le gland. Ces caresses ne mirent pas longtemps à ...
    ... faire que la tige recommença à faire honneur à son propriétaire. Elle me glissa dans l’oreille : « J’ai envie de toi, viens baises moi, je suis excitée, je te veux » Alors que je commençais à bander dur, je me retournais et lui dit : « C’est pas possible tu es une véritable chienne» Elle éclata de rire et se retournant elle dit : AL : « Oui, prends ta chienne de femme, prends moi comme tu veux, comme une chienne si tu veux » Moi : « Mets toi en levrette, je vais te monter » AL se mit à genoux et écarta largement les cuisses. AL : « C’est ça que tu veux, viens, fais moi jouir. » Ainsi installée son beau cul encadré par les jarretelles qui tendaient ses bas elle était bandante au possible. Avec ma queue je parcourais lentement la raie de ses fasses. AL : « Dépêches toi, ne me fais pas attendre, tu es un monstre » Je me décidais à m’approcher de sa chatte et caressait le sillon chaud et humide et je me décidais à la prendre, d’un coup de rein je la pénétrais d’un seul coup, facilement tellement elle était ouverte et bien mouillée, bien lubrifiée. Cette pénétration fut gratifiée d’un : Oh, … Oui » Ce qui laissait entendre qu’elle avait apprécié cette pénétration un peu brutale mais efficace et qui se prolongeait par des va et vient rapide et profonds et qui chaque fois étaient ponctués par : « Oh …oui » puis des « Oh … Oui continues » cela signifiait qu’en aucun cas il fallait ralentir le rythme, car AL s’approchait de l’orgasme et qu’il ne fallait pas la décevoir. Il me fallu encore ...
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