1. Une tranche de vie 7


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... quelques coups de reins de ma part et elle s’accrocha aux barreaux de la tête de lit et se cabra en poussant un long cri de gorge prouvant qu’elle était en train de jouir de bonne façon, un flot de cyprine m’inonda la tige. Pour ma part m’étant vidé quelque temps avant, j’avais une trique très respectable. Après avoir légèrement ralenti mes va et vient pendant son orgasme, je me remettais à l’ouvrage, la tenant par les hanches je continuais de la pénétrer, d’ailleurs avec de plus en plus de facilités tant elle était détrempée et ouverte. AL lâcha la tête de lit et se prit la tête dans les mains pour récupérer son souffle et revenant sur terre et me sentant de nouveau en elle me dit : « Arrêtes tu m’as épuisée » Moi, tout en continuant mes allers et retours : « Non, je suis sur que tu as, encore, envie que je te prenne, tu es ouverte, tu attends que je te remplisse la chatte » et je la forçais encore un peu elle eut quelques petits gémissements qui signalaient une résurgence de son plaisir, alors que pour moi la pression commençait à monter et que je voulais aller jusqu’au bout de son plaisir et du mien sachant par expérience qu’elle était capable d’avoir deux et même trois orgasmes d’affilés. Je persévérais et le résultat ne se fit pas attendre. AL se redressa, remonta son joli cul et s’ouvrit encore plus en gémissant des « OH, …Oui, … Oui, ne t’arrêtes pas » M’arrêter devenait impossible, il fallait que je lâche la pression, ne pouvant plus y tenir c’est ce qui arriva et ...
    ... je me vidais, alors que AL se cabrait et accueillait ma semence avec un « Ooooohhhhh » de satisfaction. Elle s’écroula à plat ventre sur le lit, quant à moi je m’écroulais sur le dos. Au bout d’un certain temps AL ayant repris ses esprits et se tournant vers moi me dit : « Je suis épuisée, tu es un monstre, tu es content de toi, demain je vais avoir une tête, enfin heureusement c’est dimanche, dors bien » Moi : « Il me semblait pourtant que tu avais apprécié, tu n’as pas aimé » AL : « Si, j’ai aimé et tu le sais, je t’adore, mais t’es quand même un monstre de profiter d’une pauvre femme. Bon maintenant je dors » Mois : « Merci, je n’en attendais pas plus. Tu ne te changes pas » AL : « Tout à l’heure, je suis trop fatiguée » et elle se retourna. Je me collais à elle, elle dormait déjà et quelques instants après j’en faisais autant. La semaine se passa tranquillement La préparation Vendredi 25 juillet 1980 AL Le vendredi mon chauffeur me ramena à la maison vers 15,00 h et je le renvoyais sur site en lui demandant de revenir me prendre vers 17,30 h, cela de façon à laisser la route libre à B, qui devait arriver vers15,30 h. Je voulais voir où en étaient les préparatifs AL était habillée d’une robe saharienne beige claire, le corsage ajusté et la jupe au-dessus des genoux, le tout fermée par une série de boutons, pratiquement du haut en bas et chaussée de ballerines. Elle avait mis des bouquins d’allemand sur la table du salon et s’occupait à préparer du café. La regardant se ...
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