1. Médecine parallèle


    Datte: 23/03/2020, Catégories: fh, médical, revede, massage, Oral pénétratio, h+medical,

    ... peine conscience. Son rire me fait fondre. À peine notre discussion terminée, je me déshabille promptement. Elle répète les mêmes gestes que je connais par cœur. Pendant ces longs jours d’attente, je me suis remémoré chaque seconde, chaque caresse, chaque contact. Et je me délecte de chaque effleurement. Je me nourris de chacun de ses gestes. Je bois chacune de ses paroles. J’aspire chaque bouffée de cet air qui porte son odeur. Sa voix me berce. Je me sens planer mais je lutte pour que mon esprit ne sombre pas. Je veux être conscient de ce que l’on me fait pour être certain de ne pas avoir rêvé. Et je ne suis pas déçu. Elle plaque à nouveau ses seins contre mon dos. Enfin, oserais-je dire ! Je me relâche complètement. Je m’abandonne contre son corps. Je sens soudain une érection qui se développe. Je m’affole, et me contracte. Cela risque d’être malvenu, je ne porte qu’un boxer et il n’y a aucune chance qu’il cache quoi que ce soit. Je me concentre pour faire refluer ce sang qui m’envahit. Par chance, elle me relâche, me permettant de reprendre mes esprits. Ouf ! Je débande. Elle n’a rien remarqué. Elle m’allonge sur le dos, pour réitérer son opération d’écrasement. Je jubile intérieurement à l’idée de replonger la tête entre ses seins. Je sens mon sexe se bander à nouveau. J’essaye de m’en empêcher car, allongé sur le dos, elle aura une vue imprenable sur mon intimité. Par chance, lorsqu’elle m’attire la tête contre elle, elle est au-dessus de mon torse et ne voit pas mon ...
    ... sexe bandé dans son dos. Mon érection commence à prendre de l’ampleur. Je suis pris de panique, elle sent que je me contracte et tente de me détendre alors que derrière elle, il y a autre chose qui se tend. Je n’arrive plus à me contrôler. Elle n’arrive pas à atteindre le petit craquement salvateur. Je reste plus longtemps la tête plongé dans ses seins. Finalement, elle abandonne, se recule en me regardant dans les yeux. — Vous avez l’air très contracté d’un seul coup, Monsieur Jamet. Je ne vous fais pas mal j’espère ? Elle semble perplexe. Mon érection perd de son intensité. Elle ne l’a pas remarquée. Mon rythme cardiaque se ralentit. — Non, vous ne me faites absolument pas mal. Je ne comprends pas, je n’arrive pas à me relâcher. Tu parles ! Je sais très bien ce qui m’arrive mais je ne me vois pas lui dire qu’elle me rend fou, qu’elle me fait bander comme un taureau. — Vous avez les mâchoires contractées. Je vais regarder cela. Elle récupère un gant en latex, y introduit sa main et se place derrière ma tête, lui offrant une vue complète sur mon corps à moitié nu étendu devant elle. Elle pose une main délicatement sur mon visage, me forçant à ouvrir la bouche et de son autre main gantée, elle y introduit ses doigts. — Oh oui, vous êtes très contracté. Essayez de vous détendre, me dit-elle tout en appuyant sur ma mâchoire inférieure. Ce geste simple semble anodin mais il provoque en moi une montée d’adrénaline indescriptible. Mon cœur s’accélère au contact de ses doigts insérés ...
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