1. Un été particulier en colonie de vacances


    Datte: 24/03/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail intermast, préservati, pénétratio,

    ... l’acte. Micky m’embrassait, venait me lécher le cou ou le lobe de l’oreille pendant que je caressais et léchais sa poitrine et ses cuisses. Des frissons de plaisir nous parcouraient le corps. Nous ondulions doucement et cherchions à éprouver le plus de plaisir possible. Puis, j’ai accéléré le rythme et Micky s’agrippa à moi et me serra de plus en plus fort. Elle sentait le plaisir investir les moindres recoins de son corps. Ses mouvements devenaient de plus en plus désordonnés et le point de non retour était proche. Ses yeux se fermaient et elle s’agrippait plus fortement à moi pour me sentir plus profondément en elle. Son orgasme arriva et des soubresauts parcoururent son corps. Ses contractions internes me massaient le sexe au point que je n’ai pas pu me retenir, et je vins en elle dans de grands coups de reins. Pendant l’orgasme, nous nous sommes embrassés fougueusement pour éviter de crier notre plaisir. Nous venions tout simplement de prendre un plaisir incroyable, plaisir que l’on s’était refusé jusqu’alors. Le calme revint peu à peu et je me retirais progressivement. Nous nous sommes embrassés ...
    ... longuement pour faire durer l’instant, tout en continuant à se caresser mutuellement avec une infinie tendresse. Nous venions de commettre l’irréparable, mais nous en étions heureux et comblés. La fatigue arriva progressivement et c’est dans les bras l’un de l’autre que nous avons terminé notre nuit mémorable. Les quelques jours qui restaient jusqu’à la fin de la colonie furent mis à profit pour des moments de tendresse complice. Nous n’avons pas recommencé, pensant certainement qu’il ne fallait pas aller au-delà et que ce que nous avions vécu était magique et unique. Cependant, lors de discussions, on regrettait mutuellement d’être déjà pris tous les deux. Nous sentions qu’entre nous tout aurait pu être possible. Nous nous sommes quittés à regret le jour de notre retour de nuit en car. Nous avons dormi l’un contre l’autre et ce dernier moment de complicité et de tendresse nous parut trop rapide. Nous nous sommes revus par la suite, grâce à nos études, mais nous avions repris notre quotidien et n’avons jamais reparlé de l’instant magique que nous avions vécu. Tout ceci reste un très agréable souvenir. 
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