1. Elle, la femme de ma vie (1)


    Datte: 24/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    (histoire en 2 parties) « On s’est connu, on s’est reconnu, on s’est perdu de vue, on s’est r’perdu d’vue, on s’est retrouvé, on s’est réchauffé… ». Cette ritournelle de Jeanne Moreau pourrait s’appliquer à cette histoire avec la personne la plus importante de ma vie. De nos premiers baisers enfantins échangés à 4 ans à aujourd’hui, 40 ans ont passés. Et comme dans la chanson, on s’est perdu de vue souvent, on s’est retrouvé souvent. Jusqu’à nos 18 ans, nous sommes restés sages. Nous n’avons jamais franchi le pas, par peur de l’interdit, par peur de la famille. Car cette personne, c’est la fille du frère de ma mère. Ma cousine. Enfin, quand je dis « rien », c’est faux. Il y a bien eu quelque chose. C’était un dimanche à la campagne. Presque jumeaux (nous avions 15 jours d’écart), toute la famille avait attendu l’été pour fêter nos 18 ans respectifs, avec 4 mois de retard. Nous étions enfin majeurs. Après une soirée festive, le lendemain fut consacré au rangement. En début d’après-midi, j’ai proposé à ma cousine d’aller prendre un bain à la rivière, ce qu’elle accepta immédiatement. L’attraction entre nous devenait plus compliquée à gérer alors que les hormones se déchaînaient. En descendant à la rivière dans le but de prendre un bain, je regardais son cul. Aujourd’hui, je le sais, c’était le plus beau de tous ceux que j’avais pu voir. À ce moment-là, c’était juste le premier à me faire un tel effet. Comme d’habitude, je me mis à bander et avoir des pensées ...
    ... particulièrement salaces. Enfin, autant qu’elles puissent l’être à cet âge-là. À l’époque, Internet n’existait pas. Les films pornos, c’était soit le premier samedi du mois, si on avait de la chance, soit la location dans un vidéoclub. Et quand on n’a pas 18 ans, la tâche s’avérait complexe. En descendant à la rivière, je matais donc le cul de ma cousine en me promettant d’y mettre encore les mains une fois arrivés à l’eau. Cinq minutes plus tard, nous y étions. C’est alors que j’ai proposé qu’on se baigne nu. Elle m’a regardé avec un drôle de sourire et, sans un mot, elle s’est dévêtue. Son corps, je le connaissais, je l’avais vu évoluer depuis notre premier baiser. Et ces derniers jours, à l’abri des regards, on se pelotait dès que possible. À peine avait-elle enlevé son maillot que je n’ai pas résisté. Je me suis approché d’elle. Elle a levé la tête avec toujours son petit sourire. Je me suis penché et je l’ai embrassée tout en la serrant contre moi. Elle m’a enlacé et répondu à mon baiser. Nos langues se sont mêlées, ma bite s’est dressé toute droite entre nos deux corps. Ma cousine a arrêté de m’embrasser. Elle s’est reculée, a pris en main ma bite et a commencé à me masturber… Sa main allait et venait sur mon membre alors que son regard était fixé dans le mien. Un moment magique qui ne nécessitait pas de paroles. Elle s’est agenouillée et a pris mon gland en bouche. Pour la première fois. J’ai mis mes mains sur sa tête pour accompagner son mouvement. Elle m’a englouti… avant de me ...
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