1. Elle, la femme de ma vie (1)


    Datte: 24/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... recracher aussi vite, manquant de s’étouffer quand mon gland a heurté sa luette. Malgré sa complète inexpérience, elle était gourmande. Elle m’a réembouché aussitôt pour recommencer à me sucer. Sa langue me léchait le gland, se collant contre ma bite quand celle-ci s’enfonçait dans sa bouche. Elle avait du talent. Les sensations étaient incroyables. Ma cousine faisait de vraies merveilles avec sa bouche chaude comme un volcan. Par moments, mon gland était enroulé par sa langue brûlante. Par d’autres, c’était mon membre qui s’enfonçait au fond de sa bouche. Elle prenait de l’assurance, avalant ma queue de plus en plus. J’avais l’impression qu’elle descendait dans sa gorge et que mes couilles allaient aussi y passer. oghouupe Voulant faire durer le plaisir, elle retira mon membre de sa bouche si pulpeuse. J’avais à peine eu le temps de commencer à râler qu’elle se mit à me branler tout en avalant mes couilles. Elle les fit rouler dans sa bouche, m’arrachant des gémissements de douleur. Mais si cela faisait un peu mal, le plaisir que j’en tirais compensait largement. J’avais l’impression de grossir encore. Pendant deux ou trois minutes, elle alterna les pipes et l’astiquage manuel du manche. La pression montait et je n’allais plus tenir encore très longtemps. Je l’ai forcée à me reprendre dans sa merveilleuse bouche que je me suis mis à baiser comme si c’était son vagin. Ma première pipe, par mon amour de cousine, était grandiose. Quand j’ai senti que j’allais jouir, j’ai ...
    ... maintenu sa tête et j’ai déchargé au fond de sa gorge. Sans possibilité de reculer, elle a avalé mon foutre. — Salaud. Ce fut le seul mot qui sortit de sa bouche. Mais il était contredit par son sourire radieux. Après avoir repris mon souffle, je l’ai soulevée et installée sur un rocher plus plat que les autres. J’ai écarté ses jambes. Devant moi, c’était l’Origine du monde, en vrai. J’ai approché ma bouche et, maladroitement, j’ai commencé à la lécher. Elle mouillait comme pas possible, et très vite mon visage fut humide. Je trouvai instinctivement les bons gestes. Son clitoris était saillant, bien dur. Je l’aspirais, le léchais. Ma langue faisait l’aller-retour entre les lèvres ouvertes de sa chatte vierge et ce petit bout si réceptif. J’enfonçais ma langue dans son sexe autant que je pouvais. Elle aussi se mit à me plaquer la tête contre sa chatte. Excité comme jamais, je continuais à la fouiller, à la lécher du mieux que je pouvais. Combien de temps cela dura, je n’en sais rien ! Un long feulement et un surcroît de liquide dans ma bouche ne laissèrent guère de doute : j’avais réussi à la faire jouir, comme elle l’avait fait pour moi peu avant. Je rebandais. J’avais envie d’entrer en elle avec ma bite comme je venais de le faire avec ma langue. Je me suis relevé et j’ai approché mon sexe du sien tout en la regardant dans les yeux. Elle a souri et pris ma queue dans sa main pour l’approcher de sa jolie petite chatte. Elle a frotté longuement mon gland contre son clitoris avant de ...