1. Pause pipi


    Datte: 25/03/2020, Catégories: fh, couple, forêt, voyage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, intermast, Oral fdanus, uro, amourpass, nature,

    ... plaqua étroitement contre son habile époux qui savait si bien enflammer ses sens. Remuant lascivement son bas-ventre traversé par mille frissons sensuels conte le membre viril, qu’elle percevait malgré l’épaisseur des tissus qui le protégeait, toujours aussi raide, elle prévint d’une petite voix : — J’ai envie de faire l’amour.— Encore ? s’étonna Guillaume. Pourtant il m’avait bien semblé t’avoir fait jouir il n’y a pas si longtemps ?— C’est vrai, gémit Nicole. Mais j’ai encore envie. Je veux sentir ta queue dans ma chatte !— Ici ? tenta de plaisanter Guillaume dont le désir était bien aussi intense que celui de sa femme.— Pourquoi pas ! répliqua Nicole comme une provocation. J’ai tellement envie. Comme elle redressait son visage vers son mari, la jeune femme fut saisie par la tendresse et la passion qui brillaient dans les yeux de celui-ci. Subjuguée par le magnétisme de ce regard, comme hypnotisée, elle encercla le cou de Guillaume de ses bras et approchant son visage, elle posa tendrement se lèvres sur les siennes. — Je t’aime, murmura-t-elle faiblement. C’est elle qui, d’une langue souple et adroite alla chercher celle de son compagnon, dans un baiser plein d’une passion amoureuse depuis longtemps oubliée. Guillaume y répondit avec la même émotion sensuelle. Jamais les deux époux ne s’étaient retrouvés habités par une telle ardeur passionnée depuis leur lune de miel, vingt ans plus tôt. Peu à peu la vie avait transformé les amants qu’ils étaient en un couple comme tant ...
    ... d’autres ; pris par ses obligations familiales et professionnelles. Lentement, sans qu’ils ne s’en rendent réellement compte, l’amour qui les avait unis du temps de leur jeunesse avait fait place à cette tendresse complice qui fait d’un amant prévenant, un mari pressé. Même s’ils faisaient l’amour avec toujours autant de plaisir, une fois par semaine, la fougue dévastatrice du début n’y était plus. Mais en ce jour particulier, il avait fallu qu’une envie pressante de Nicole les force à s’arrêter en ce lieu, où le bruissement des feuilles des grands arbres caressés par le souffle léger du vent, mêlé au chant mélodieux de dizaines d’oiseaux s’élevant des taillis, les ramène vingt ans en arrière. À cette époque où toute occasion était bonne pour se prouver combien ils se désiraient l’un, l’autre. Accrochée au cou de son époux, la croupe fermement malaxée par ce dernier, Nicole éprouvait un plaisir particulier à frotter son bas-ventre contre l’énorme protubérance que faisait la verge gonflée, témoin indiscutable du désir que Guillaume éprouvait pour elle : — Viens, lui murmura ce dernier à l’oreille d’une voix chaude. Retournons à la voiture, nous serons plus tranquilles.— Tu as raison, susurra, Nicole dont l’entrecuisse n’était plus qu’une source intarissable. De nouveau tendrement enlacés, les deux époux retrouvés reprirent leur marche en direction de la route nationale, pressés de satisfaire leurs besoins sexuels à l’intérieur de l’habitacle de la 407. Arrivés à la voiture, ...