1. Bécassine (4)


    Datte: 25/03/2020, Catégories: Hétéro

    ... Je la savais pas douée pour faire la cuisine, mais pas à ce point-là ! Il faut le faire pour foutre le feu à son appartement ! Mais bizarrement, je ne suis même pas surpris. Elle est capable de tout. Je me déshabille et me couche dans mon lit. Je m’endors en quelques minutes. — Armand, réveille-toi ! On me remue, on m’appelle. J’ouvre les yeux : elle est là, dans l’obscurité. Son parfum de vanille embaume la chambre. — Ton canapé est trop petit et trop dur. Je n’arrive pas à dormir. Tu veux bien me faire une place dans ton lit ? — Euh… OK… Mais je suis complètement nu. — Pas grave, on sera deux alors ! déclare-t-elle en se jetant dans le lit. Merci, tu es un amour, ajoute-t-elle en me déposant un petit baiser sur la joue. Au moment du baiser, ses seins sont venus me frôler. Ce bref contact m’a troublé. De plus, la savoir si proche et dénudée me donne chaud, et mon sexe n’est pas long à se réveiller. En parfait gentleman, je n’ai pas voulu profiter de la situation et l’attirer dans mon lit, mais voilà qu’elle s’y jette d’elle-même. — J’ai besoin de réconfort, réclame-t-elle. Tu veux bien me prendre dans tes bras ? — Euh… c’est-à-dire que… Si je la colle d’un peu trop près, un hétéro ne pouvant rester insensible à une si désirable beauté dénudée, elle va forcément se rendre compte de l’état de mon sexe. Comme je suis censé être gay, il faut mieux éviter tout contact rapproché. Je la connais bien, maintenant : même si elle n’a personne d’autre sur qui compter, elle ...
    ... n’apprécierait pas d’apprendre que je suis hétéro. — C’est quoi le problème ? Tu bandes, c’est ça ? T’as la trique du réveil ? — Euh… on peut dire ça comme ça, en effet. — Ne t’inquiète pas, ça ne me dérange pas. Tu n’seras pas le premier mec à bander le long de mon cul. Allez viens, prend-moi dans tes bras. — Bon, si tu insistes… J’obtempère. Bécassine colle bien son cul à mon entrejambe et ma queue vient se caler le long de sa raie. La chaleur de son corps me réchauffe et son parfum m’envahit les narines. Avec tout ça, ma trique ne se calme pas, bien au contraire. — Ça me rappelle un été où on a été camper avec des potes… Oh non ! Pitié, Bécassine, ne commence pas une de tes histoires, sinon je ne vais jamais réussir à me calmer. — On était quatre mais on n’avait que deux tentes. En plus, elles étaient toutes petites, donc on devait se serrer. J’ai été obligée de partager la mienne avec un des mecs. Celui-là, je le connaissais à peine mais il était beau gosse, alors ça ne me dérangeait pas. Par contre, il avait une copine qui n’avait pas pu venir avec nous, mais je ne voulais pas laisser ce détail se mettre en travers de mon chemin. J’avais mis une nuisette super courte et, comme tu me connais, je n’avais pas de sous-vêtements. J’suis venue frotter mon cul contre sa queue pendant la nuit pour l’allumer. Il bandait ferme, mais il a tenu bon le premier soir. Le lendemain, il a craqué et m’a baisée comme un fou. Le pire, c’est que mes deux autres potes nous ont entendus et que ça leur a ...
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