1. Hôtel avec service


    Datte: 25/03/2020, Catégories: Accouplements Érotiques,

    ... saluée plus tôt cette semaine et avoir fait un brin de causette. Très mignonne, Arielle. Moitié antillaise, moitié québécoise. Peut-être 23 ans. Avait mis fin à ses études après une année peu satisfaisante à l’université. Bossait dans cet hôtel depuis un an environ, afin de se donner un peu de recul pour se lancer dans un programme d’études plus approprié. Comme elle le disait, « Ce qu’il y a de bien avec cet emploi, c’est qu’aucune considération un tant soit peu intellectuelle ne vient biaiser ma réflexion. En faisant des lits, j’ai tout le loisir nécessaire pour soupeser le pour et le contre de l’architecture et des langues modernes. » Elle disait ça en riant. Et son rire me plaisait. Mais à cet instant, elle ne riait pas. Arielle s’était vite retirée dans le petit corridor d’entrée, derrière un coin. Pendant ce temps, j’avais eu le réflexe de retirer mon casque d’écoute, avant de remettre mes deux mains sur mon bas-ventre, tentant de cacher mon sexe dans un réflexe pudique. Toute confuse, Arielle bafouillait « Pardonnez-moi, j’ai cogné et, n’entendant pas de réponse, je suis entrée. » Normal : un petit toc toc sur la porte ne peut rivaliser avec Led Zeppelin. Estomaqué, je répondis « Ça va, je devrais survivre. » Après un instant, le rire familier et enchanteur d’Arielle revint à mes oreilles. « Je l’espère ! Sinon, tu imagines les tracas que je vais avoir avec mes patrons ! » Le tutoiement ne m’avait pas échappé. Un peu ragaillardi, je surenchéris. « Et qu’aurait-on ...
    ... écrit dans la rubrique nécrologique ? “Mort après avoir été pris la main dans le sac… non, sur le sac !” » J’étais un peu étonné moi-même de l’audace qui avait inspiré cette blague grivoise. Mais Arielle riait de plus belle. Elle s’arrêta soudain de rigoler. « J’aimerais me faire pardonner », dit-elle. Avant même que j’aie eu le temps de lui répondre qu’il n’y avait rien à pardonner, je la vis revenir, tournant le coin et s’avançant vers moi. « Laisse-toi faire », dit-elle, d’une voix douce. Elle s’approcha du lit et s’assit à ma droite. J’étais encore couché, tâchant inutilement de cacher mon érection. Arielle glissa sa main droite vers mon bas-ventre. Doucement, elle retira mes mains pour révéler mon sexe tout dur. Elle s’en empara et commença à me branler très lentement. Une sensation électrisante me parcourut le corps. « Laisse-toi faire », répéta-t-elle. Comme s’il y avait une quelconque réticence à vaincre chez moi. Je laissai ma tête se poser sur l’oreiller, regardant le doux visage d’Arielle pendant qu’elle me branlait. Elle était si belle. Elle avait un petit sourire amusé, comme une gamine qui découvre un nouveau jouet. Ce qui était le cas, du reste. Sa main alternait de façon experte entre mes couilles, qu’elle malaxait tendrement, et ma bite, qu’elle branlait tout doucement. Je sentais l’orgasme approcher. « Pas tout de suite », dit-elle, ayant pressenti l’éclatement. Elle retira donc sa main de ma queue, se concentrant sur mes couilles, qu’elle caressait de façon ...