1. Paul et Simone


    Datte: 26/03/2020, Catégories: fh, extracon, amour, noculotte, fsodo, nostalgie,

    ... cette robe qu’il appelait « la robe de l’adultère »… oOo Paul arrive à la maison où ils ont vécu ensemble des années heureuses. Il ne doit pas sonner, la porte est entrouverte. — Simone, je suis là…— Monte… Le cœur battant, il monte l’escalier menant au living. Simone est assise à la table de la salle à manger. Elle ne porte pas la robe gris-bleu ; elle porte la jupe anthracite et un petit pull gris sans manches. — Tu veux une tasse de café ?— Oui, bien sûr !— Assieds-toi, je te l’apporte. Toujours les pieds sur terre, Simone, elle sait que Paul n’a jamais refusé une tasse de café et celui-ci est déjà prêt. Elle se lève et se rend dans la cuisine. Ses joues semblent quand même un peu rouges… Paul s’assied et Simone vient jusqu’à lui pour déposer la tasse. Elle reste debout à ses côtés, à le frôler. — Je n’ai pas mis de soutien non plus… Le cœur de Paul fait un bond dans sa poitrine ! « Non plus ! », ça veut dire qu’elle n’a pas mis de culotte, comme il l’avait demandé ! Et, si lui aime lui caresser les fesses, elle aime se faire empaumer les seins, et sa tenue qui semble si sage est au fond prévue pour leurs désirs à tous deux… Paul glisse une main sous sa jupe et lui caresse l’arrière des cuisses. Sa main retrouve le grain de sa peau, la douceur de sa chair qu’il n’a pas oubliée… Elle écarte un peu les cuisses, en une invite discrète. Il insère la main entre ses cuisses en frôlant le bas des fesses et le bout de ses doigts se pose à l’entrée de sa grotte. Sa chair est ...
    ... chaude et humide, comme il s’y attendait. Elle écarte encore plus les jambes et se colle contre lui, toujours assis. Elle a posé les deux mains sur la table, à côté de la tasse de café qui refroidit, et s’est penchée un peu vers l’avant. Paul lui palpe doucement l’entrejambe, il écarte les chairs et introduit un doigt dans la chatte accueillante, tandis que son autre main s’insinue sous le pull pour atteindre les seins impatients. Il s’empare d’un téton érigé et le fait rouler entre ses doigts. Elle gémit, elle attendait cette caresse qui l’a toujours excitée ; elle creuse un peu plus les reins, montrant ainsi qu’il ne doit pas hésiter à la fouiller plus avant. Paul retire son majeur et le remplace par son pouce qu’il introduit tout entier dans le vagin brûlant, ses doigts peuvent ainsi s’emparer de la motte et jouer quelques instants dans les poils soyeux. L’air s’est chargé d’une odeur d’amour qu’ils connaissent bien, celle de la femelle en rut, et le sexe de Paul frémit déjà de savoir qu’il va bientôt posséder à nouveau celle qu’il connaît si bien… Paul retire ses mains et se lève ; il tourne Simone vers lui et lui prend la bouche. Elle se colle contre lui et l’embrasse avec fougue, mêlant sa langue à la sienne, et chacun retrouve avec délices le goût de l’autre. — Viens, dit-elle enfin, et elle l’entraîne vers le canapé du salon. Paul croyait qu’ils allaient monter dans la chambre, mais il ne dit rien et l’accompagne. Elle se couche sur le dos et lui se met à genoux sur le ...
«1234...8»