1. La déposition de Lay O'Neel (1)


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Hétéro

    ... engluaient sa bite toujours dure. La minute d’après, il entrait en moi une nouvelle fois. Plus attentif. Je sentais les pointes de mes seins caresser sa poitrine. Je remuais sur lui. L’odeur de son corps montait jusqu’à mes narines. — Mademoiselle O’Neel, si vous le permettez, tenez-vous en aux faits, s’il vous plaît. — Je ne peux pas m’en tenir aux faits ! Lay avait explosé de colère. Elle inspira profondément, expira, et reprit, un peu calmée. — Vous ne comprendrez rien si je m’en tiens aux faits, monsieur. Il faut que je vous raconte ce qui s’est passé. D’un geste indifférent de la main, le flic l’incita à poursuivre. Elle dit : — Cette deuxième fois, j’ai su que c’était la bonne. Il tenait mes avant-bras avec ses mains. Mon bassin montait et descendait sur lui. Je le sentais entrer de plus en plus loin au fond de moi. Il me maintenait. J’étais au-dessus, mais c’est lui qui me dominait, en fait. Et ça devait l’exciter, parce que je sentais sa bite grandir en moi, durcir, me baiser encore plus fort, et tout à coup, il a touché mon point G. J’ai renversé la tête en arrière. J’ai soupiré. Il s’est mis à jouir plus fort qu’avant. — Bon, écoutez, je ne vois pas le rapport avec... — Vous allez comprendre, merde ! Le flic laissa passer un ange, avant de répondre, plus calme : — Bon, mais, essayez de minimiser les digressions, OK ? Lay haussa les épaules. prphhiv — C’est clair ?, insista le flic. — Ouais, ouais, c’est clair ! — Reprenons. Vous voulez bien ? — Oui. Reprenons. Donc. ...
    ... Il est sorti de moi. J’ai posé ma main sur sa poitrine. J’avais toujours une jambe en-travers de son pubis. Son sperme s’est mis à couler de ma chatte. On s’embrassait. C’était doux, c’était tendre. Et c’est à ce moment-là que c’est arrivé. — Quoi ? — Il m’a dit... Monsieur, je ne me souviens plus bien, c’était il y a plusieurs semaines, maintenant, et... — Dans les grandes lignes. Dites-moi ce qu’il vous a dit dans les grandes lignes. — Il m’a dit que... Non, d’abord... D’abord il m’a pris le poignet. Il a guidé la main jusqu’à sa bite. Il mollissait, trempé de moi, trempé de sperme. Il m’a regardée dans les yeux. Je n’y croyais pas, mais je savais ce qu’il voulait. Et je l’ai fait. Je suis descendue jusqu’à son sexe. Je l’ai pris dans ma bouche. Je l’ai masturbé entre mes lèvres. J’ai caressé ses couilles. Son gland, puis toute sa verge, tout a redurci. Alors il s’est redressé, il m’a attrapée par-derrière, et il m’a prise en levrette. Et puis j’ai senti sa bite sortir de ma chatte, appuyer contre mon petit cul, et c’est là, alors qu’il s’enfonçait en moi, qu’il m’a dit que j’aimais trop le sexe pour avoir un seul mec. Il m’a dit qu’il savait ces choses-là. Qu’il m’avait repérée. Il m’a dit qu’il allait m’emmener jusqu’au bout de la débauche. Je ne savais plus ce que je faisais. Il passait de mon cul à ma chatte, il me défonçait comme un fou, et je me demandais combien de temps il allait pouvoir tenir à ce rythme quand je me suis mise à jouir, et jouir, et jouir encore, je ...