1. Agréables contraintes


    Datte: 26/03/2020, Catégories: fh, fhh, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe jeu, fouetfesse,

    Sylvianne déambule le long d’un petit chemin de campagne, à la sortie d’un hameau alors que je suis perdu dans ce foutu pays où les panneaux de signalisation sont aussi rares que les fraises des bois au mois de janvier. Elle est assez grande, beau petit cul ; non : adorable petit cul. Elle porte un chemisier rouge et une jupe noire assez légère qui ondule en accompagnant le mouvement de ses fesses. Je ne vois pas encore son visage et ne peux déterminer son âge. Je roule derrière elle en ralentissant à son approche. Quelque chose en moi me donne envie de m’arrêter ; peut-être est-ce une poussée libidinale provoquée par l’allure de cette femme qui semble coïncider à l’idée que je me fais du plaisir sensuel. Arrivé à sa hauteur, je constate qu’est n’est pas vilaine du tout ; elle doit avoir la quarantaine et son allure vue de profil confirme bien l’impression qu’elle m’a donné de dos. J’ouvre la vitre côté passager et m’arrête. — Bonjour. Je crois que je me suis perdu. Dans quelle direction puis-je retrouver la route de Périgueux ? Elle m’aperçoit et son regard s’éclaire. Est-ce le mien un peu lascif qui ranime en elle un feu érotique ? En souriant, elle me répond : — Oh là là ! ce n’est pas par ici. C’est compliqué. Il faut continuer tout droit sur huit à dix kilomètres, puis retrouver la route de Brantôme, mais pour cela, vous devez d’abord traverser un village… Ah ! ce n’est pas évident. Est-ce que vous avez une carte ? Elle s’est penchée pour me parler et je ne peux ...
    ... réprimer un coup d’œil coquin sur sa gorge. L’échancrure de son corsage laisse apparaître un mince soutien-gorge bordé de dentelle enrobant deux seins que je devine agréables. Elle s’en est aperçu et sourit de nouveau sans se redresser. — Pas une carte détaillée, sinon, je ne me serais pas perdu.— Écoutez, vous pourriez allez jusqu’au prochain village, il y a une petite librairie. Ça m’étonnerait qu’ils n’aient pas de carte ! En disant ces mots, elle a cessé de sourire et a dans les yeux et la voix une expression qui me fait penser qu’elle regrette que je doive continuer. — Merci… Bon après-midi ! Je m’apprête à repartir. — Ah ! excusez-moi. Je ne vous ai même pas demandé si je pouvais vous déposer quelque part ? Son sourire est revenu. Elle est plus enthousiaste. — Volontiers… Vous pouvez me déposer à deux kilomètres. Je démarre. Mon regard se veut charmeur, un peu caressant aussi et Sylvianne y répond par un sourire approbateur. — Il n’y a pas beaucoup de voitures par ici ! lui dis-je pour amorcer la discussion.— C’est bien sûr. Ici il n’y a que des cultivateurs qui travaillent dans les champs toute la journée et sont crevés le soir quand ils rentrent !— Vous ne vous ennuyez pas ?— Oh si alors. Tout est si calme ici que je donnerais je ne sais combien pour un moment d’amusement !— Pourtant le cadre est agréable, bucolique. On doit s’y sentir bien ?— Si vous aimez vous promener, il y a beaucoup de belles choses à découvrir dans cette nature encore sauvage.— Mais j’adore ça. Vous ...
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