1. Agréables contraintes


    Datte: 26/03/2020, Catégories: fh, fhh, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe jeu, fouetfesse,

    ... connaissez des endroits particuliers qui vaillent la peine d’être vus ?— Si vous avez un peu de temps, on peut faire un détour par le Bois Joli.— C’est un nom très poétique.— Le lieu aussi ! Pendant que Sylvianne m’indique la route, je ne puis m’empêcher de reluquer ses genoux et l’amorce de ses cuisses. Sur le chemin de terre que nous empruntons à présent, avec les soubresauts, sa jupe remonte peu à peu et, voyant la direction de mon regard, elle sourit largement en me disant : — Vous êtes un peu coquin, non ?— On ne saurait vous le cacher ! Ça n’a pas l’air de vous déranger ?— Ça m’amuse…— Vous aimez vous amuser ?— Ouais ! Le chemin se rétrécit nous obligeant à nous arrêter. Nous descendons de voiture. Sylvianne déploie ses longues jambes laissant entrevoir au passage un morceau de tissu blanc en haut de ses cuisses. Large sourire prometteur… Le tutoiement est de mise. — Tu aimes jouer, donc ?— Les occasions ne sont pas légion ici ! me répond-t-elle avec un regard complice.— Que préfères-tu comme jeux ?— Je n’ai pas préférence. Que me proposes-tu ?— Il y a les classiques : le docteur, l’instituteur, le masseur… Ou bien la petite fille pas sage, Elle m’interrompt : — Oui, la petite fille pas sage.— D’accord ! Nous nous enfonçons dans le petit chemin de terre qui semble aller nulle part, et nous éloigne de la route. Tout en avançant, derrière Sylvianne, je déguste des yeux son petit cul qui se dandine sous sa jupe légère. Par moment, ne pouvant me retenir, ma main lui palpe ...
    ... une cuisse ou lui soulève la jupe jusqu’à voir sa culotte. Sylvianne ne dit ou plutôt n’émet qu’un petit rire amusé tout en s’échappant. Nous parcourons plusieurs centaines de mètres dans un paysage de taillis et de bois avant de trouver sur notre gauche une bande de gazon où l’on peut s’asseoir. J’attrape le bras de Sylvianne pour la stopper. — On s’arrête ici, vilaine fille ! lui intimai-je pour créer l’ambiance. Tu n’as fait que rigoler tout le long du chemin, ce n’est pas bien ; et puis qu’est-ce que c’est que cette tenue ? Tu te laisses soulever la jupe maintenant ? Viens ici que je te montre de quel bois je me chauffe ! Et sur ce, je la tire vers moi, et comme elle me fait face, m’incline pour soulever de la main gauche, sa jupe derrière elle, jusqu’à ce que ses fesses soient dégagées. Et là, levant la main droite, je lui assigne une tape sur son postérieur. Elle ne dit rien. — Ça ne te fait rien ? Et celle-ci ? Ma main s’abat plus sèchement sur son cul et elle pousse un «Aie !» de douleur. Cette fois j’y suis. Cette réaction m’excite surtout lorsqu’elle me dit :— Encore.— Tu n’en as pas assez ? Et bien tu vas voir ! Et ce faisant, j’attrape l’élastique de sa culotte et le tire vers le bas, libérant ses fesses. La culotte tombe aux pieds de Sylvianne et celle-ce soulève les pieds l’un après l’autre pour que le morceau de tissu quitte ses jambes. — Petite cochonne ! lui dis-je, ça te plait d’avoir les fesses à l’air, hein ! Et sûr qu’elle aime ça. Je relève la jupe qui ...
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