1. Un après-midi avec Isabelle


    Datte: 26/03/2020, Catégories: f, magasin, cinéma, bus, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation uro, scato,

    Isabelle descendit avec élégance les escaliers, perchée sur des talons hauts et engoncée dans une jupe étroite qui l’obligeait à se mouvoir par de petites enjambées. Elle portait des bas noirs soutenus par des porte-jarretelles sexy qu’elle ne portait qu’en ces occasions et un chemisier blanc sans soutien-gorge. Après avoir franchi le hall, elle attrapa son sac posé sur la commode et se dirigea vers la porte d’entrée. Ses seins volumineux gigotaient à chacun de ses pas. Elle raffolait de cette sensation de pesanteur qui lui provoquait de petits picotements dans le bas-ventre et rendait ses tétons durs comme de l’acier. Elle s’accordait ces sorties exhib’ en moyenne une fois par mois. C’était un défouloir, un moment pendant lequel elle oubliait tout et s’abandonnait aux plaisirs les plus extrêmes. Elle marcha jusqu’à l’arrêt de bus et monta dans le premier venu. Peu importe la destination, il fallait qu’elle se montre et qu’elle jouisse en public. Elle repéra un jeune couple en face duquel elle s’assit en faisant en sorte que sa jupe remonte suffisamment pour qu’apparaisse le haut de ses bas, puis elle sortit un livre de son sac, offrant au jeune homme captivé et à sa compagne outrée une vue imprenable sur son opulente poitrine. De plus en plus excitée, elle en rajouta dans la provocation en croisant si haut les jambes qu’une bande de peau nue séparait le haut de ses bas de sa jupe. Elle jeta un regard furtif pour jauger l’effet qu’elle produisait et ce qu’elle vit l’excita ...
    ... plus encore : le jeune homme avait le regard plongé sur ses jambes et bandait visiblement comme un taureau ; la jeune femme avait une main posée sur la cuisse de son compagnon et regardait la bosse énorme qui déformait son pantalon. Elle sentit une liqueur brûlante couler de sa chatte. Elle décroisa les jambes et les desserra légèrement, juste assez pour que le couple profitât de sa belle culotte en mousseline de soie transparente qui voilait à peine sa chatte fraîchement rasée. Le bus s’arrêta. Elle se leva puis descendit, laissant seuls ce pauvre homme prêt à exploser dans son pantalon et sa femme qui visiblement ne restait pas insensible à la charge érotique de la situation. Elle imagina la suite : la femme avait dégagé la queue du pantalon, l’avait engouffré dans sa bouche et avait avalé la semence jusqu’à la dernière goutte. Isabelle était folle d’excitation. Ses tétons dressés lui faisaient mal. Ils semblaient transpercer son chemisier. Elle marcha un moment encore, dégustant les regards lubriques qui l’accompagnaient. Son attention fut attirée par l’enseigne lumineuse d’un grand magasin de vêtements. Pourquoi ne pas y entrer ? Elle avait envie de faire pipi. Peut-être y trouverait-elle des toilettes pour se soulager la vessie et éteindre le feu qu’elle avait allumé dans sa culotte ? Elle décida de franchir la porte d’entrée. Le magasin était immense. Au rez-de-chaussée se trouvaient les caisses et les vêtements pour hommes tandis que l’étage était entièrement consacré ...
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