1. Un après-midi avec Isabelle


    Datte: 26/03/2020, Catégories: f, magasin, cinéma, bus, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation uro, scato,

    ... aux vêtements et accessoires pour femmes. Elle se dirigea vers l’escalator puis se laissa porter vers le niveau supérieur. Elle arpenta les rayons à la recherche de toilettes mais n’en trouva pas. L’envie se faisait de plus en plus pressante. Consciente de ne plus pouvoir se retenir bien longtemps, Isabelle se dirigea au fond d’un rayon peu fréquenté où se trouvaient deux cabines d’essayage. Elle prit au passage et au hasard un pull, une petite robe d’été et des dessous pour donner le change. Il n’y avait personne dans le rayon quand elle pénétra dans la cabine. Elle tira le rideau, remonta sa jupe puis s’accroupit au-dessus d’une petite poubelle à papier sans prendre le temps de retirer sa culotte. Elle poussa et la pisse jaillit en de multiples jets à travers l’étoffe. Elle urina de longues secondes puis s’arrêta soudainement : si elle continuait à forcer, elle sentait qu’il allait arriver autre chose… Elle se releva et se caressa la chatte en se regardant dans le miroir. La mousseline trempée collait à ses lèvres galbées et était devenue translucide laissant apparaître tous les replis de sa fente jusqu’à son clitoris boursouflé. Quelques frôlements du bout des doigts sur ce minuscule phallus suffirent à la faire jouir. Elle retrouva rapidement et brutalement ses esprits quand elle entendit une voix féminine venue de l’extérieur demander d’un ton inquiet si tout allait bien. Dans un réflexe, elle rajusta sa jupe avant de répondre avec sang-froid qu’elle avait eu un ...
    ... petit malaise mais que tout était rentré dans l’ordre. Isabelle attendit un peu que l’intruse s’éloignât puis elle sortit de la cabine. L’avait-elle vue ou entendue ? L’avait-elle matée par l’interstice laissé par le rideau ? Elle ne le saurait sans doute jamais, mais cette hypothèse ne la laissa pas insensible. Elle replaça les affaires dans le rayon puis regagna l’extérieur. Elle marcha en direction du centre-ville. Sa chatte trempée collait à sa culotte. Elle avait joui intensément dans le magasin mais elle sentait remonter en elle un trouble plus fort encore. Ce qu’elle venait de faire (elle s’était comportée comme une vraie cochonne), les risques qu’elle avait pris, tout ceci la rendait ivre d’excitation. Elle chercha un lieu plus propice à ses envies de masturbation. Elle ne voulait pas rentrer chez elle, du moins pas encore. La vue d’un cinéma situé un peu plus loin la sortit de ses pensées. Pourquoi pas ? C’était un petit cinéma de quartier spécialisé dans les vieux films. Autant dire qu’elle y serait tranquille. Il n’y aurait sans doute pas grand monde dans la salle. Elle regarda les horaires des séances. Peu importe le film. Elle en repéra un qui commençait quelques minutes plus tard. Sans même regarder l’affiche, elle acheta un ticket puis se laissa guider par l’ouvreuse. Elle s’enfonça dans une rangée située au milieu de la salle et se glissa dans un fauteuil. L’ouvreuse et sa lampe de poche disparurent et l’obscurité se fit complète. Puis l’écran s’illumina. Les ...