Un apprentissage particulier - Histoires de Sexe

Un apprentissage particulier

... chatte….— C’est bien. Tu veux que je te fasses jouir comme ça ?— Oh oui, fais-moi jouir… Il prend alors mon bouton entre ses lèvres, le suce doucement, mais avec force et fougue, bavant dessus pour l’humidifier encore plus qu’il ne l’est déjà. En même temps, il enfonce ses doigts rapidement dans ma chatte. Je sens alors monter les premiers spasmes de la jouissance. J’halète de plus en plus vite… je ne peux plus me retenir… — Vas-y, jouis ma belle, laisse-toi aller, crie pour moi…— Oh ouiiii, encore, va plus vite…. ouiiii je jouiiis ! Il continue malgré mon orgasme à me lécher, plus vite et plus fort encore… Je n’en peux plus, je n’arrive plus à me retenir, je m’effondre sur le lit, submergée par ce plaisir… et je m’endors… Le lendemain matin, j’ai d’abord cru à un doux rêve, mais en me voyant nue dans son lit, je n’ai pu réprimer une certaine peur, une honte… Il m’attendait dans la cuisine pour le petit déjeuner. Après m’être douchée et habillée, je descendis le rejoindre. Il était souriant, faisant comme si rien ne s’était passé. Nous avons déjeuné, en parlant de la pluie et du beau temps. À un moment, pendant qu’il lisait son livre, je me suis approchée de lui, et je l’ai embrassé. Je ne sais pas pourquoi, mais il le fallait. Il ne bougeait pas, recevant mon baiser passivement. Je l’ai ensuite regardé, j’ai retiré son livre, et me suis installée sur lui, assise, prenant ses bras et les mettant autour de moi. J’ai posé ma tête sur son épaule. — Ce n’était pas un rêve, ...

... n’est ce pas ?— Non, en effet…— Je suis désolée, pardon, je sais que je ne t’aime pas, je ne suis pas amoureuse de toi, je t’apprécie, mais pas amoureusement… pardon. Il me sourit, prit mon visage dans ses mains, et m’embrassa. — Je le sais, moi non plus je ne suis pas amoureux de toi. Mais tu es une femme à présent, et tu ne peux plus me laisser indifférent.— Je t’ai vu une nuit, regardant un film et te caressant…— ….. Pardon ?— Quand tu as joui, tu as dit mon nom, et tu as dit que je devais tout avaler.— Un fantasme, oui, je ne le nie pas.— Et tu aimerais que je le fasse ? Tu n’as pas eu ton plaisir hier, tu m’as épuisée…— Tu aimerais le faire ? Tu as déjà sucé un homme ?— Oui, mais pas longtemps, juste avant de faire l’amour. Je sentis sous moi une bosse se former doucement. Il me regardait, je l’embrassais encore, et encore, je ne pouvais décoller mes lèvres de cette bouche qui m’avait donné tant de plaisir. Je m’installai entre ses jambes et commençai à caresser à travers le tissu son sexe, dur, gros, plus gros que ceux que j’ai connus. J’ai alors sorti ce membre tendu de son short. Éric me regardait fixement. — Enlève ton tee-shirt, m’ordonna-t-il. J’obéis, dévoilant mon soutien-gorge blanc renfermant mes seins volumineux. — Non, enlève tout, je veux voir tes seins quand tu me suces. J’étais un peu choquée de la manière dont il me parlait. Cette autorité me faisait cependant envie et m’excitait terriblement. Une fois torse nu, je commençai à embrasser ce sexe, le bout ...