1. Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (4)


    Datte: 25/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Lourdement et avec difficulté elle se remit debout. Lui montrant le lit je lui intimai : « - Grimpez là-dessus et foutez vous à quatre pattes ! Comme une chienne ! » Elle m’obéit et je croisai son regard tout trouble. Elle s’installa bien au bord du lit, sans même que j’eus besoin de corriger sa position, ayant même écarté les cuisses. Je me levai de ma chaise et me plaçai à côté d’elle, contemplant le spectacle. « - Cambrez-vous bien, creusez les reins ! Tendez bien votre croupe, oui, offrez bien votre cul, comme ça ! » Ses gros nichons pendaient comme deux outres, les petits bourrelets de son ventre faisaient comme une draperie, comme j’aime. « - Alors, on a l’air moins maline comme ça, hein ?! On est prête à recevoir son traitement. Ah, voilà un tableau que j’adore : une bonne soumise, une vieille cochonne, la chatte trempée, en proie à ses désirs secrets et lubriques ! » Elle ne bronchait pas, attendait, sans protester, montrant ainsi que j’étais dans le vrai, et mes mots devaient résonner dans sa tête, et l’exciter encore plus. Je me plaçai derrière sa croupe, empaumai ses fesses, les écartai, l’examinai longuement ; puis je descendis plus bas, j’écartai les grandes lèvres, exposant les petites lèvres luisantes et rose vif, mes pouces les caressant, glissant sur les muqueuses grâce à la cyprine brillante qui les humectaient. « - Une bonne chienne, prête pour la saillie ! J’adore enfiler les grosses et vieilles cochonnes ! » lui déclarai-je avec une voix dont le ton ...
    ... trahissait l’excitation, tandis que je me débarrassai du froc et du boxer. Je posai à nouveau mes mains sur son cul, et approchai mon dard arqué de la poule à sacrifier ; je présentai mon vit dont le gland était gonflé à craquer à l’orifice de sa vulve, et lentement je le fis glisser en elle : elle était brûlante et douce. « - Mmmm, quel délicieux fourreau ! Je vais bien te baiser, grosse salope ! » Là-dessus, je la saisis par ses fortes hanches et je l’empalai à fond sur ma queue. Elle poussa un « AHH » de satisfaction et je commençai à la baiser lentement, mais bien à fond. Je butais à chaque coup de pine tout au fond de son ventre, lui ébranlant tous ses organes… « - Alors, chère Madame, vous me demandiez si je connaissais des traitements que les autres médecins ignoraient. Vous connaissiez celui-là ? — Oh non ! — Vous avez certainement des douleurs, de l’arthrose, des problèmes de sommeil, non ? — Ah oui, souvent… Comment vous le savez ? » répondit-elle en gémissant, la voix saccadée sous mes coups de boutoir. « - C’est mon boulot de savoir. Eh bien, je peux vous garantir que le plaisir sexuel, en libérant des endorphines – des molécules proches de la morphine, que le système nerveux sécrète – est un magnifique remède contre les douleurs chroniques comme pour les insomnies. Vous viendrez prendre votre traitement directement chez moi… mais pas trop souvent… il ne faut pas abuser… des bonnes choses… hummm… » La serrant fort par la taille, je me mis à la besogner à un rythme ...
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