1. Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (4)


    Datte: 25/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... croissant. Son fourreau était brûlant et bien moite. Elle répondait à mes coups de boutoir par des petits cris de femme excitée, des cris à l’intensité rapidement croissante. Rapidement elle se mit à gueuler comme jamais : elle déchargeait la vieille salope ! " - Hum, mais tu sais que tu es une bonne baiseuse, une bonne salope, ma cochonne ! Tu prends ton pied, hein ?! — OH OUI c’est bon ! Tu me baises bien, mon salaud ! — Eh bien, on dirait que la petite dame se lâche…! Il y avait longtemps que vous n’aviez pas été baisée, ma petite dame ? — Oh oui… depuis que mon mari est invalide… ça fait au moins cinq ans. — Je comprends un peu mieux… Vous aviez de la réserve. Et le manque d’orgasmes vous a minée. Il est temps de remettre la machine en marche, de remettre votre corps dans le cercle vertueux de la bonne santé… par une bonne baise, une baise régulière et salutaire. Elle semblait soudain un peu vidée par l’orgasme qui venait de l’étreindre puissamment. Renonçant à jouir dans l’instant, je me retirai d’elle et lui déclarai : " - Et si on s’occupait de ce cul, ce cul plantureux et magnifique… ?!" Et joignant le geste à la parole, je me mis à le caresser, à appuyer les paumes de mes mains sur toute la surface de ses deux hémisphères, les écartai, les relâchai, et ainsi de suite, exposant bien sa rosette et sa chatte toute luisante. Je caressai d’abord de la pulpe de mon pouce l’œillet bien froncé, la jolie étoile qui n’attendait qu’à être explorée. Je pris dans mon "coffret ...
    ... aux plaisirs" un petit plug translucide à l’extrémité effilée que j’enduisis de gel lubrifiant. Je caressai ensuite le petit cratère avec celui-ci, le testant, appuyant un peu comme si j’allais le forcer, mais celui-ci semblait bien tonique. Je renonçai donc à l’entreprise, et déposai une bonne dose de gel sur la petite cupule bistre que je me mis à caresser du bout de l’index avec des mouvements circulaires. Elle tourna la tête vers moi - sa nature de soumise que je lui avais sans doute révélée faisait qu’elle avait gardé jusqu’à là, avec discipline, la même position sans oser bouger (ou bien n’était-elle pas encore rassasiée) - et me demanda : " - Qu’est-ce que vous allez faire…? — Qu’est-ce que vous croyez, votre cul va y passer, ma petite dame. Je n’ai pas l’habitude de recevoir d’aussi belles poules avec un pareil cul, un cul aussi bandant, et de les laisser partir avant de les avoir enculées ! — Oh… Ça j’ai jamais fait… Enfin, pas depuis très très longtemps… Et j’en garde pas un bon souvenir, j’avais eu très mal… — Vous en faites pas, ma petite dame, vous avez affaire à un spécialiste, et pas à une brute. Et je ne fais rien qui ne procure pas de plaisir à ma patiente. Et je prends toujours le temps qu’il faut ; pour l’heure c’est moi qui me montre toujours patient… Qu’importe le temps qu’il me faudra, que ça prendra, mais votre cul je vais vous l’ouvrir progressivement, et croyez-moi il se livrera sans effort. Quand je lui aurais administré mon traitement, ma pine y ...
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