Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (4)
Datte: 25/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Le canal était bien souple, laissait glisser le toy sans difficulté. Je le posai sur le lit et lui déclarai, solennellement : " - C’est parfait, tu es prête à être enculée, ma belle !" Je posai mes deux mains sur ses fesses bien déployées, la surface était bien tendue. Puis je m’accroupis au-dessus de son fessier bien exposé. La rondelle qui bâillait était un appel, offerte au sacrifice. Je pris ma queue raide dans ma main et la guidai vers son petit trou borgne. Le gland passa sans difficulté. J’enfonçai lentement ma grosse pine dans le petit orifice de la retraitée vicieuse. Il était serré mais mon vit glissa sans douleur ni résistance ; je sentais les spasmes de son muscle anal me presser la queue, mais son cul se rendait sans heurt. Je descendis, lui enfonçant mon dard jusqu’à la garde, je la félicitai : " - C’est bien, vous avez pris toute ma pine dans le cul ! Maintenant je vais vous besogner, vous enculer comme vous le méritez." La bonne femme n’avait quasiment pas bronché, elle encaissait bien. Elle se faisait sodomiser sans faiblir. Je regrettais presque de ne pas avoir de plug vaginal pour lui prendre l’autre orifice. Je me mis à la pilonner lentement, à lui prendre le fondement à longs coups de bite souples. Ces mouvements eurent l’air de lui faire de l’effet : elle se mit à râler, à pousser de longues plaintes saccadées, au rythme de la saillie. Je pris ses larges hanches à pleines mains et me mis littéralement à lui défoncer le cul, et elle avait l’air ...
... d’apprécier. Elle se mit à beugler, à pousser des cris de bête blessée, elle avait tout l’air de commencer à jouir, et de façon ininterrompue. Tout son corps replet était secoué par mes coups de boutoir et par les spasmes de jouissance qui la faisaient trembler toute entière ; ses jambes durent même faiblir car elle s’affaissa et s’affala à plat ventre. Je restai collé contre son gros derrière, et continuai à la pilonner à grands coups de pine. Ma jouissance monta d’un seul coup, je rugis et lui envoyai des puissants jets de foutre tout au fond de son cul ; je me vidai en elle, lui offrant un lavement gratuit. Elle semblait anéantie, et je ne valais guère mieux. J’étais allongé sur elle, collé de tout mon poids sur son dos, que je caressai tendrement, l’embrassant sur le cou, les épaules. Elle s’ébroua, eut un rire nerveux, disant que je la chatouillais. Je finis par sortir de son canal étroit, l’aidai à se relever. Manifestement cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas livrée à une pareille partie de baise, qu’elle n’avait pas eu l’occasion de fournir un tel effort physique. Que d’émotion ! Elle avait le visage rouge, ses yeux bleus pâles brillaient sous l’effet du plaisir. Je la pris par la main, l’amenai à la douche, lui donnai un drap de bain. Elle affichait un sourire de satisfaction. Elle semblait épanouie, transformée. La thérapeutique avait l’air de fonctionner. Quand elle ressortit de la douche, je la gratifiai d’un charmant sourire : " - Alors, Madame, comment vous ...