1. Marie Christine, génèse d'une soumise (4)


    Datte: 27/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Bob avait toujours de nouvelles idées. C’est ce qui me plaisait chez lui. Il avait su déceler le fond de ma nature sexuelle et il en abusait. Ce soir, il m’informa que nous sortions. Je m’habillais à sa convenance : jupe courte, cuissardes, chemisier, et … mon collier de cuir. Bob me conduisit en voiture jusqu’à un portail et me dit : — C’est là, donne satisfaction ! Il me tendit une enveloppe que je devais remettre Je sortis, regardais la voiture s’éloigner puis je me décidais à sonner. Le portail s’ouvrit, je me dirigeais vers la porte d’entrée de la maison à une distance d’environ 10 mètres. Un sac en papier était scotché sur la porte. Il contenait quelques mots et un bandeau noir : — Tu te déshabilles, tu mets le bandeau sur tes yeux. Le mot de passe est "Baisez moi" Je regardais aux alentours, il n’y avait pas de vis-à-vis, juste deux fenêtres d’où on pouvait me voir, personne derrière les vitres. Je me déshabillais, mis le bandeau et j’attendis un long moment. Enfin la porte s’ouvrit, je prononçais la phrase magique, et tendis l’enveloppe que m’avait remis Bob. L’homme lut à haute voix : — Mode d’emploi de Marie Christine. C’est une fille particulièrement salope, aussi bien clitoridienne que vaginale, elle mouille facilement. Il est préférable de la soumettre avant de la posséder, elle n’en éprouvera que plus de plaisir et se donnera avec plus d’ardeur. Ne pas hésiter à l’humilier, elle apprécie. Bonne utilisation! Une main me pinça fortement le bout du sein gauche et ...
    ... l’homme m’entraîna à l’intérieur en me tirant par le téton. — Messieurs, je vous présente la salope que nous attendions. Il m’ordonna de mettre les mains sur les hanches et retira mon bandeau Horreur! Parmi les gars qui m’attendaient, je découvris le maître de cérémonie, Alain Robert , un gars avec qui j’étais à la fac. Il était moche comme un pou et je l’avais fait marcher, lui posant des lapins, jouant avec ses désirs pour moi sans rien lui accorder. A la fac, j’avais le pouvoir sur les hommes, a présent c’était l’inverse, ma vie avait basculé depuis que je connaissais Bob. Je protégeais ma poitrine et mon sexe de mes mains. — Alors salope, tu te rappelles de moi? — Oui, Alain... — Tu te souviens de m’avoir fait marcher et même courir ? — Oui, mais ce n’était pas méchant ! Je reçus une paire de gifles. — C’est moi qui parle, toi tu obéis! Bob est venu me demander ce service, j’ai pris grand plaisir à accepter. Du coup, j’en ai profité pour inviter quatre copains. Il me fit asseoir sur une table basse, les fesses posées au bord, les bras croisés derrière la nuque, les cuisses grandes ouvertes. Il attacha des pinces à mes grandes lèvres avec des poids. Les types étaient face a moi, assis sur des fauteuils à me détailler. Alain reprit: — D’abord tu vas nous parler un peu de toi... Et les questions commencèrent: — A quel age as tu commencé à te branler? As tu baisé pour la première fois ? Est ce que j’aimais sucer ? Avaler ? Quels étaient mes fantasmes? … Je devais répondre en ...
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