1. Marie Christine, génèse d'une soumise (4)


    Datte: 27/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... regardant dans les yeux la personne qui m’avait posé la question Les questions cessèrent quand un des hommes introduisit deux, puis trois doigts dans ma chatte et me masturba en pinçant mon clitoris ou le bout des seins. Je grimaçais de plaisir autant que de douleur, serrant et écartant tour à tour mes cuisses. Ils me firent les sucer les uns après les autres, à genoux devant eux. Ils n’allèrent pas jusqu’au bout Alain, lui, voulut que je lui lèche les couilles. Le moment redouté arriva. Je le détestais, il était tellement laid. Alain vint m’attraper par les cheveux plaça ma tête devant le fermeture de son pantalon — Allez suce Marie Christine, et correctement, il faut que tu me donnes satisfaction sinon….. Je fis glisser la fermeture, dégrafais la ceinture, fis descendre le pantalon puis le slip, je retardais l’instant. Son sexe était à présent dressé devant moi, je me décidais. Je suçais ses bourses puis, sur son instance, je décalottais son gland et l’enfournais dans ma bouche. wtuwppar — Jusqu’au bout Marie Christine et tu avales! Je sentis la sève monter et inonder ma gorge, je l’avalais en prenant bien soin d’aspirer jusqu’à la dernière goutte. Alain, l’air satisfait, s’assit entre mes jambes et se mit à s’occuper sérieusement de mon clitoris, le stimulant d’un doigt. De son autre main il me pénétrait de deux ou trois doigts. J’avais l’interdiction de jouir, je mouillais, une vraie fontaine. Je me mis a trépigner tellement mon désir était intense. Les types me firent ...
    ... mettre à plat sur le dos, les jambes repliées vers la poitrine, grandes ouvertes, un coussin sous les reins. Je devais avec mes mains maintenir ma chatte ouverte. Alain était ravi de me voir ainsi offerte, dans cette humiliante position, d’ailleurs il me le fit savoir : — Tu es indécente Marie Christine, je suis sur que tu ne pensais pas qu’un jour tu serais ainsi ouverte devant moi Il me fit relever et m’emmena dans une chambre. Je fus allongée sur le lit. Deux des hommes me prirent chacun une jambe et ils m’ouvrirent au maximum, les cuisses relevées. J’étais écartelée. Un type fortement membré enfila une large bague en caoutchouc munie de picots sur son gland. Il me pénétra d’un coup sec, puis il me prit la tête entre ses mains pour que je le regarde dans les yeux. L’objet qu’il avait mis au bout de son pénis me labourait le vagin. Il continuait de me besogner de plus en plus fort, je commençais à geindre, gémir, je sentais ma chatte s’ouvrir, s’ouvrir inexorablement . Il ralentissait, m’embrassant a pleine bouche, introduisant deux ou trois doigts dans ma bouche que je suçais avidement. Il arriva à ses fins, je ne me contrôlais plus et partit d’un grand orgasme. Il me gifla à plusieurs reprises, puis il déchargeât son foutre dans mon intimité. Le suivant voulut me sodomiser. Je dus me courber, la tête plaquée sur une table, les mamelles pendantes, les cuisses bien écartées, tandis que mes mains écartaient mes deux lobes fessiers. Il cracha sur mon anus, mis un doigt puis ...