Nicole, prête à tout (17)
Datte: 28/03/2020,
Catégories:
Transexuels
... parfois légères, des coups de canif dans les contrats. A la rentrée de septembre, Nathalie commença à me parler de comptabilité, de commandes, de fournisseurs, de réapprovisionnements, d’inventaire. Beaucoup moins sexy et glamour, mais indispensable. Malgré tout, le travail me plaisait. Et c’était bien la première fois que j’étais contente de travailler, autrement qu’à baiser. Si mes parents me voyaient ! Cela dit, il arrivait parfois que Nathalie et moi mêlions l’agréable à l’utile quand le chaland se faisait rare. La cabine d’essayage abritait nos parties de jambes en l’air et je me délectais de la cramouille de ma deuxième patronne. Cela faisait maintenant deux ans que j’avais commencé mon traitement hormonal. Mes seins avaient pris un peu de volume et j’arborai fièrement un petit quatre-vingt-cinq B que je laissais libre de toute dentelle, préférant sentir le frottement de mes hauts sur mes tétons sensibles. Malgré tout, même si j’adorai ma petite poitrine, Alain restait frustré de ne pas pouvoir se masturber entre eux. Il ne le disait pas, mais je constatai son plaisir lorsqu’il le faisait avec Isabelle. — dis-moi, mon chéri, tu aimerais que j’aie des seins plus gros ? Son regard s’éclaira. — ok. Je vais me renseigner alors. — mais si tu ne veux pas, je ne t’oblige pas, tu sais. — je ferai tout ce que tu veux mon amour. Dès le lendemain, je consultai mon médecin qui me donna l’adresse de son confrère chirurgien plastique. Un mois plus tard, mon Alain étrenna ma nouvelle ...
... poitrine, bonne C, avec son sexe et répandit sa semence sur ma gorge. — alors heureux ? minaudé-je. — comblé ma chérie. Je t’aime plus que tout au monde. — moi aussi je t’aime, encore plus. Toute la maison et nos amis et amies goûtèrent à mes seins. Même Rosette qui avait enfin accepté sa bisexualité. La contrepartie fut que je dus remplacer tous mes soutiens-gorge. Mais cela ne posa pas trop de problème, puisque j’étais dans la place. Mais ça me coûta quand même une petite fortune. Au printemps, j’eus la surprise de voir arriver mes beaux-parents chez Isabelle et Jean-Charles (qui avait pour l’occasion laissé Charlène au placard). Et pour une fois, ce fut Isabelle qui passa derrière les fourneaux. Elle s’avéra être un fin cordon bleu. Et quand je lui demandai pourquoi elle avait embauché Rosette pour faire les repas, elle me répondit qu’elle avait la flemme de faire la cuisine au quotidien. Seule Andrée me fit une remarque gentille, me reprochant de faire comme toutes ces stars en couvertures des magazines people. Nous prîmes le café sur la terrasse baignée de soleil. Je servis tout le monde et m’installai sur une chaise, collée à Alain que je ne quittais pas d’une semelle. Tous nous félicitèrent pour notre amour mutuel. Amour qui me semblait grandir de jour en jour. Alors que je commençai à débarrasser les tasses, Alain se leva, s’approcha de moi, mit un genou à terre, ouvrit une petite boite qu’il avait sortie de sa poche. — Nicole mon amour, veux-tu m’épouser ? Je lachai ...