1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°708)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... je te retrouve, comme tu dois être. Me voilà habillé seulement de mon lourd collier métallique d’esclave MDE et de cette accablante cage de chasteté. Je suis tenu en laisse, le Maître m’entraine à l’extérieur, via la porte fenêtre donnant sur la spacieuse terrasse. Nous descendons deux ou trois marches et arrivons sur la verte pelouse. - Allez mon chien, pisse là ! ordonne le Maître Et telle une chienne (l’animal), mon fessier et ma bite quasiment au contact avec le sol, en appui sur mes bras tendus placés entre mes jambes, je me soulage en écartant les cuisses, sous le regard Dominant du Maître. Et dès ma miction terminée, instinctivement je me redresse, me retourne et viens humer mes urines, respectant ainsi les enseignements reçus, l’éducation donnée… Je sais, ça peut paraître dégradant pour le quidam, mais si sublime à faire et à vivre pour moi … - De te regarder pisser, m’a donné des envies, ma chienne ! me lance le Maître Je le vois dégrafer son jean et sortir Son Noble sexe flasque. Alors immédiatement, mécaniquement, je m’installe entre Ses jambes. Je pose mon cul sur mes talons et offre ma bouche. Libre à Monsieur le Marquis de disposer de moi ! Et aujourd’hui il en est ainsi. Son jet éclabousse ma glotte, le Maître pisse par saccades me laissant avaler, entre deux jets drus et vigoureux, ces fluides corporels, me laissant aussi savourer le bouquet sur mon palais comme s’il s’agissait d’un bon vin. A peine vient-il de finir qu’il m’ordonne de lui lécher et lui ...
    ... nettoyer Son gland qu’il vient de décalotter. - Allez, nous devons rentrer, mon chien. Tantôt chien, tantôt putain, tantôt catin, tantôt chiotte, tantôt objet, tantôt jouet, tantôt rien… voilà tout ce que je suis et je suis parce qu’avant tout, le Maître est ! Et tout cela est mon incroyable et inouï bonheur ! Juste avant de rentrer dans la chambre, je vois de loin, un ballet de voitures, de grosses cylindrées, limousines, Roll Royce, Ferrari, etc ... aller et venir dans cette vaste cour gravillonnée. Des hommes et des femmes en sortent et entrent dans cette Demeure. Tous sont accueillis par Monsieur Armand. Mais le Maître me presse, tire sur ma laisse, comme s’il voulait m’empêcher de regarder et m’entraine de nouveau dans cette chambre. - Tu vas repasser ta marinière mon chien et m’attendre sagement ici, coucher sur ce doux et moelleux tapis. Je ne sais pas ce qui se trame ici, je ne comprends rien, pourquoi cette marinière ? Pourquoi toutes ces voitures ? Le Maître vient tout juste de me quitter que déjà la porte de la chambre s’ouvre ! Un homme entre. Evidemment je ne le connais pas. Il s’approche de moi à grandes enjambées. Il me fait un peu peur ! En silence, sans aucun mot, le regard sévère, froid, un visage impassible, il saisit mon collier, fait me redresser, m’entraine debout fermement presque brutalement au dehors de la chambre. Nous parcourons un couloir, sortons à l’extérieur par une porte de service dérobée et regagnons, un petit bâtiment jamais vu encore. Nous ...