1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°708)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... descendons quelques marches, j’ai l’impression d’être conduit dans une cave. L’homme ouvre une porte et me pousse littéralement dans une pièce sombre et obscure. J’entends la porte se fermer à clé aussitôt derrière moi, me laissant seul, ici, sans savoir vraiment où je suis, ce que je vais devenir. Le Maître m’avait pourtant dit que j’occuperai la cage dissimulée dans le placard de la chambre… Peut-être a-t-il changé d’avis ? L’obscurité m’handicape, je ne vois rien. Je tâtonne, tente de trouver un mur, pour me repérer dans l’espace et me heurte ! A quoi ? À qui devrais-je dire… Quelqu’un est là, juste devant moi. Quelqu’un ? Non, quelqu’une ! Ma main a effleuré une opulente poitrine. Surpris, je présente mes excuses, fais un quart de tour et tente de poursuivre mon chemin. Mais là encore je me cogne à un autre individu immobile. Alors je décide de ne plus bouger et d’attendre que mes yeux s’habituent à l’obscurité. Et lorsque ceux-ci me permettent de discerner un peu plus, je m’aperçois que nous ne sommes pas trois, mais bien plus nombreux… Combien ? Sans doute plus d’une trentaine… Qui sont ces hommes, ces femmes ? Sont-ils eux aussi des soumis ou des soumises ? Au bout de quelques minutes, mes yeux se sont ajustés à la pénombre, je distingue un peu mieux ceux près de moi. J’ai l’impression que tous portent cette marinière à l’identique de celle que j’ai sur le dos. Toutes et tous, ont un collier autour du cou. Il n’y a plus de doute. Je sursaute ! Une main vient de se ...
    ... poser sur mon cul et le caresse tout en douceur. Je ne bouge pas, reste impassible, ou presque… seule ma bite qui réagit me trahit ! Au bout d’une heure, peut-être deux, toujours debout, au milieu de ces ombres, mon esprit se perd. J’ai des difficultés à organiser mes idées, je me sens égaré, j’ai cette impression d’avoir perdu toute logique. Je suis là à attendre comme hébété, à attendre quoi ? J’ai le sentiment que le temps s’est arrêté. Ce n’est que lorsque j’entends hurler un homme à la voix criarde et autoritaire lancer à tue-tête … : - Dehors les salopes, en rang deux par deux et en silence ! … que je reprends conscience, et reviens subitement au contexte et à la réalité. Nous sortons un peu en pagaille l’un contre l’autre tel un troupeau de moutons, mais n’en sommes-nous pas ! Et nous voilà dehors, aveuglés par la forte luminosité. Cette fois, on se positionne presque naturellement alignés, en colonne couvrée, tous en uniforme avec cette marinière sur le dos, rien en bas ! Machinalement, je compte, nous sommes une cinquantaine, autant de mâles que de femelles. Un vrai troupeau de salopes, puisque c’est ainsi que l’on nous nomme (et que l’on est, il n’y a pas de doute et heureux de l’être). - Je suis un de vos coachs, vous devez m’obéir et me respecter ! Cet homme est celui qui est venu me cueillir dans la chambre, il est grand, fort, musclé. Il porte un survêtement Adidas et des chaussures de sport de la même marque. Il fait les cent pas devant nous, nous dévisageant un ...