1. Ma Belle-Maman


    Datte: 29/03/2020, Catégories: fplusag, alliance, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, amourcach,

    ... sensation de nausée. Je n’étais ni en colère, ni dégoûtée, uniquement surprise, trop surprise. Je n’ai pas voulu que tu sois au courant, garder pour moi ton secret. Je n’ai pas réussi. Alors je me suis lancée hier, comme ça sur un coup de folie. Lorsque je n’ai plus eu de réponse, j’ai compris ton embarras, qui doit être aussi immense que le mien.— Oui, oui, murmuré-je.— Étrangement, j’ai été soulagée et même heureuse de partager ce secret. Je peux dire que je suis flattée de pouvoir encore plaire, faire partie des songes de quelqu’un. Je ne vais pas faire un long discours pour te dire que j’apprécie le regard que tu me portes malgré l’interdit. Ce que je vais ajouter restera à jamais entre nous, je me suis bien fait comprendre ? dit-elle comme lorsqu’elle enguirlande sa petite fille.— Oui, bien sûr.— Bon, nous y voilà. Je veux bien accéder à ce fantasme mais il y a une condition essentielle. Personne, je dis bien personne, ne doit être au courant. Tout cela doit rester notre jardin secret.— D’accord.— Je ne plaisante pas François, en aucune manière la famille ou les amis ne doivent avoir vent de ce que nous ferons ou pas.— J’ai parfaitement compris, belle-maman.— (sourire) Je dois être folle, complètement folle… Effectivement sa folie transparaît par un acte que je n’aurais pas cru possible si rapidement. Sa main restée sagement sur le tissu, serre celui-ci et le remonte inexorablement. Son visage est rosé, ses yeux sont clos mais elle continue de remonter sa menotte. Je ...
    ... ne verrai que le haut de ses cuisses serrées mais cette vision est pour moi une de plus belle qui m’ait été de voir. Elle s’offre avec une douceur telle, que j’ai envie de la prendre dans mes bras pour la remercier. Je n’ose pas la toucher pour ne pas casser cette ambiance pesante mais au pouvoir érotique démesuré. — Tu me laisseras du temps, susurre-t-elle sans ouvrir ses yeux.— Tout ce que tu désires, réponds-je.— Assez folle pour me laisser aller. Sur ces derniers mots, elle soulève ses fesses sans desserrer les jambes et remonte sa robe bouffante autour de sa taille. Je ne peux rien deviner mais sa position est vulnérable, elle me prouve par cet acte qu’elle souhaite poursuivre notre jeu. Je suis à la fois aux anges et effrayé par ce qui nous arrive. J’ai tellement imaginé ce moment, durant de longues années, qu’à ce moment-là je n’arrive pas à comprendre toute la portée de son geste. C’est plus tard dans la soirée que j’arriverai à assimiler tous les tenants et aboutissants. Brigitte me demandera de la laisser seule, de changer de pièce pour ne pas que je la voie partir. J’accède à sa demande et pars m’enfermer dans le garage pour finir quelque bricole. Je resterai dans la remise longtemps après que sa voiture ait quitté notre terrain. Une joie indescriptible m’assaille malgré l’appréhension que j’ai d’affronter ma femme. En fait, à la maison, tout se passera bien, je suis allé chercher ma fille à l’école, lorsque ma femme est revenue du travail, elle s’est félicitée ...