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Moule à beaufres
Datte: 30/03/2020, Catégories: f, ffh, jeunes, alliance, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation préservati, pénétratio, humour,
... d’immobilité encore, puis je me détends. Mais je ne suis pas sûre qu’il n’y ait personne. Au contraire : je suis persuadée qu’on m’observe. Qui ? Cyrille ? Il en est bien capable ! Et Pascal face-de-raie… Pourquoi pas lui, avec ses yeux fuyants ? Fuyants quand on le regarde, je veux dire. Je ne suis pas dupe de la manière qu’il a de m’espionner à la dérobée. Petit à petit, l’idée de faire comme si je n’avais rien perçu d’anormal fait son chemin sous ma crinière. Ma main reprend son manège sur ma poitrine. Mes beaufs veulent se rincer l’œil ? Eh bien qu’ils le fassent ! J’éprouve de plus en plus de plaisir à me peloter les nichons sur et sous la blouse. Cette fois, j’y mets les deux mains et savoir qu’on m’observe décuple mon excitation. J’hésite encore à dénouer les pans du vêtement, mais je me décide à descendre vers mon short pour en défaire les boutons. Le relâchement du tissu autour de ma taille me donne la sensation de me dénuder, même si je ne laisse presque rien voir. J’essaie de prendre mon temps, mais en réalité j’ai une envie folle de tout arracher, mais ce ne serait pas convenable. Mes mains finissent par se partager le boulot, l’une sous la blouse, l’autre dans la culotte. Je mouille comme une petite cochonne, et me branler comme ça en pleine nature sous les regards discrets d’un ou deux mateurs me met dans tous mes états. Que ces mateurs soient mes beaufs n’y change rien, bien au contraire ! Je les imagine la bouche entrouverte, la sueur au front, la gorge ...
... serrée, essayant de contrôler leur souffle pour éviter de faire le bruit qui pourrait m’effaroucher. Ils doivent être là, à bander comme des boucs en rut. Du bout de mes doigts tremblants, je finis par m’attaquer au noeud de ma blouse. Je ferme les yeux, tête et dos appuyés au tronc d’arbre. Le noeud résiste, mais je n’ai pas envie d’y envoyer ma deuxième main, trop affairée dans mon entrejambe. Des élancements brûlants montent à l’assaut de mon ventre tandis que mes doigts se trempent de mouille, et la lutte que soutiennent les autres contre le tissu rétif accentue mon excitation. J’imagine que, non loin de là, quelques boutons de braguette cèdent allègrement. Quand les pans de la blouse se rabattent enfin, je suis au bord de la jouissance. J’ouvre les paupières, baisse les yeux vers ma poitrine offerte sous l’ombre des arbres. Pourquoi mes seins me paraissent-ils soudain si gros, si provocants ? Je les caresse des deux mains, agace les tétons du bout des doigts. Entre mes cuisses, le feu gronde. J’ai pourtant abandonné d’un seul coup les titillements de mon clito, mais le plaisir vient tout seul. Les yeux à nouveau fermés, paumes serrées sur mes nichons, le bout de la langue humectant mes lèvres entrouvertes sur un souffle haletant, je jouis comme une folle. Dans ma culotte, le jus coule en abondance, faisant écho aux giclées de sperme qui doivent maculer à présent quelque part l’humus du sous-bois. En reprenant ma respiration et mes esprits, j’ai soudain le sentiment d’être une ...