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Moule à beaufres
Datte: 30/03/2020, Catégories: f, ffh, jeunes, alliance, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation préservati, pénétratio, humour,
... cochonne. Une cochonne qui se donne en spectacle et qui y trouve un plaisir sans nom. Plusieurs minutes s’égrènent encore avant que je ne me décide à me resaper. J’ai entendu d’autres branches craquer, à proximité, mais je n’en ai cure. Le ou les voyeurs sont partis, peu soucieux de se faire surprendre, et je leur laisse amplement le temps de s’éloigner. Lorsque je choisis de m’en retourner vers la maison, j’évite de rebrousser chemin. Je longe le ruisselet, large à peine d’une vingtaine de centimètres à cet endroit et en cette saison, et sors du sous-bois quelque part dans le bas du village. J’aime autant rentrer par là. Avant de quitter l’abri des arbres, j’ai rectifié le plus soigneusement possible ma tenue. La proximité des maisons m’incite à m’abstenir d’afficher un look olé olé. J’ai donc abandonné l’idée de nouer à nouveau ma blouse, préférant en refermer les boutons. Ce n’est pas terrible, car elle est froissée dans le bas, mais qu’importe ! C’est plus discret comme ça. En marchant, je sens l’humidité de ma culotte et de mon short poissés à l’entrejambe, mais ça ne doit pas se remarquer. De toute façon, le chemin est désert. Il fait chaud, les gens se sont réfugiés à l’intérieur. La seule personne que je rencontre est un Anglais rougeaud, en vacances là avec sa femme, et qui travaille dehors à débroussailler le pourtour de sa bicoque laissée à l’abandon pendant plusieurs mois. Faut bien être Anglais pour rester comme ça en plein soleil, quitte à se retrouver avec ...
... un teint de brique ! Il arrête de bosser et s’appuie sur sa faux pour me regarder passer. — Fait chaud, hein ! je fais, rapidement.— Trop chaud pour travailler ! répond-il avec son accent. Je pense à nouveau à mes deux beaufs. Eux aussi, ils bossent en plein soleil ! Mais eux, ils doivent s’être offert une petite pause ! — VII — Le lendemain, je furète à gauche et à droite, mine de rien et rien à foutre. Assurément, mes deux beaufs me regardent de manière de plus en plus étrange, et je me demande si je n’exagère pas un peu. Mais les exciter en m’exhibant est un jeu pour lequel je commence à nourrir une certaine addiction. Je me fais néanmoins violence et évite cette fois de me balader sans soutif dans les alentours de la maison. Maman m’en sait gré et je ne veux pas irriter davantage Colette et finir par attirer également sur moi les soupçons de Patricia. Lorsque je décide de m’en aller faire une menue promenade, je choisis soigneusement pour l’annoncer à ma mère un moment où Pascal et Cyrille sont dans les parages, histoire de les mettre discrètement au courant. Je m’éloigne ensuite en prenant tout mon temps, rassemblant dans un petit sac à dos mon baladeur MP3 et ses écouteurs, mon appareil photo numérique, une bouteille d’eau et quelques biscuits. En tenue légère mais non équivoque – jupette en jean, tee-shirt et tennis blancs – je quitte innocemment la maison en passant par la cour et descends dans le village. Je n’y rencontre cette fois personne, et ce n’est que lorsque ...