1. Moule à beaufres


    Datte: 30/03/2020, Catégories: f, ffh, jeunes, alliance, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation préservati, pénétratio, humour,

    ... ferme les yeux et me caresse sans la moindre honte. Au point où j’en suis… Mon tee-shirt est à présent roulé sous mon menton et, comme la veille près du ruisselet, je me laisse aller à mes penchants nouvellement révélés. Deux doigts dans la fente, pendant que j’empaume mes seins l’un après l’autre. Moi aussi, je gémis. On me regarde ? On m’entend ? Et alors ? Je sursaute lorsqu’une main vient se poser sur moi. Ouvrant les yeux, je rencontre le sourire de Mary, puis fais connaissance avec sa technique de pelotage de nichons. Elle se penche et m’embrasse les tétons. J’adore ça. J’ai des frissons partout. Je tourne la tête. Où est Norman ? Il est assis, il nous regarde. La menotte de Mary glisse sur mon ventre, rejoint la mienne un peu plus bas et je lui laisse bientôt la place. Elle sait y faire. Je m’abandonne. En moi, une voix me gronde : « cochonne, petite cochonne ». Je ne l’entends déjà plus pendant que je jouis, arc-boutée sur mes talons et soulevant le bassin à la rencontre de la caresse. Oui, je suis une petite cochonne ! Mary s’écarte et j’essaie de recouvrer mes esprits. Quand Norman s’approche, l’air interrogateur, je me crispe, balançant entre l’envie qu’il me prenne et mes scrupules à m’offrir à cet homme que je connais à peine. Rassurant, il exhibe un grand sourire et un préservatif, alors je cède. Je le veux en moi. J’ai chaud. J’enlève mon tee-shirt et fais glisser ma jupette pendant que Mary enfile le bout de latex à son mari. Elle dirige ensuite ...
    ... elle-même le sexe de Norman vers le mien. L’homme est couché derrière moi. Il me pénètre doucement, par petites poussées, comme s’il craignait de me faire mal. Que s’imagine-t-il ? D’un seul coup de reins, je l’accueille. À fond. Puis je m’immobilise et resserre mes muscles. Ça me fait du bien de sentir cette bite plantée en moi. Puis je donne le signal. Norman s’active, saisissant ma hanche à pleine main pour soutenir la cadence. Mary s’en mêle. S’occupe de mes seins, de mon ventre. Je me laisse faire, profitant du plaisir qu’ils me procurent. Je n’ai nulle honte, nul remords. — Tu es belle, me chuchote Norman. Il a le nez dans mes cheveux. Mes boucles ne le gênent pas. Il s’imprègne de leur odeur et je sens son souffle saccadé près de mon oreille. Sa bite me ramone vigoureusement. Elle glisse dans mon fourreau trempé, je vais à sa rencontre, plus loin, plus fort. Je pense à mon corps qui vibre, à la chaleur qui monte à ma gorge, aux frissons qui envahissent mes reins. — Oh, God ! Oh, Carol ! souffle Norman.— Oui ! je siffle entre deux halètements en espérant qu’il ne chante pas. Cet homme ne manque pas de tonus. Je l’encourage : — Oh, oui ! Oui ! Encore ! Mmmm…— Yeah ! répond-il. Wow yeah ! Oh, Carol ! Little bitch ! Il va me faire jouir, le bougre, bien que je me demande ce qu’il a voulu dire par « lillbitch ». Faudra que je potasse mon anglais ! Je suis maintenant coincée entre lui et sa femme, qui s’est allongée devant moi pour m’embrasser et me caresser les seins. J’ai de ...
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