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Moule à beaufres
Datte: 30/03/2020, Catégories: f, ffh, jeunes, alliance, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation préservati, pénétratio, humour,
... l’électricité dans le corps. Comment puis-je m’abandonner ainsi ? J’ai un dernier sursaut de lucidité, je me traite à nouveau mentalement de cochonne. De grosse cochonne. Puis de petite salope. Mais avant d’en arriver à des mots encore plus flatteurs, je cesse de gamberger. Je ne pense plus à rien, à rien d’autre qu’à mon ventre qui n’en finit pas de jouir. Un peu plus tard, tandis que je récupère, Norman ne demeure pas inactif. Il a enlevé son préservatif et, en levrette, est reparti à l’assaut de sa femme. Quelle santé ! Quelle différence entre cet homme et les quelques gamins que j’ai connus auparavant ! J’en frémis encore. Pour ne pas être en reste, je m’approche d’eux, viens à mon tour caresser Mary. Elle approuve. Ses cris de plaisir remplissent une nouvelle fois la clairière. Je ne peux m’empêcher de sourire. Je n’espère pas vraiment qu’on nous regarde, mais je reconnais que ça ne me dérangerait pas outre mesure. Norman se retire, grogne, tend son sexe dans ma direction. Timidement d’abord, puis plus franchement sous les encouragements de l’Anglaise, je m’en empare. Ma main monte et descend, et Norman grogne à nouveau, balance des trucs en anglais – probablement des grivoiseries. Mary vient poser les lèvres sur la bite de son mari. Je veux le lâcher, céder la place, mais la femme retient ma main, m’invite à poursuivre mon mouvement. « Oh, God ! » s’exclame derechef notre partenaire. Et il jouit à longs jets sur la joue et l’épaule puis dans la bouche de sa nana, ...
... pendant que je m’écarte pour éviter de recevoir du jus dans les mirettes, mais tout en continuant à le branler plus lentement. Nous nous écroulons sur la couverture où nous reprenons notre souffle sous la caresse du soleil. Nous faisons un sort à la bouteille de chardonnay et, à ma grande surprise, mon hôte en exhibe une seconde. « Tudieu ! » m’exclamé-je mentalement. « Il prévoyait une véritable beuverie avec sa gonzesse ! » C’est vrai que nos ébats m’ont donné soif. Je ne doute pas un seul instant que même – et surtout – sans ma présence, ils avaient planifié cette séance de sport. « Ça justifie certaines précautions ! » Ils sont si gentils ! On bavarde, on rigole et je les trouve tellement sympas ! Je décline quand même poliment leur offre de partager leur repas, surtout que le blanc est épuisé et que Norman décide de s’attaquer au rouge, un truc où je vois « nuits » sur l’étiquette. C’est probablement à siroter le soir, mais ils ne peuvent pas résister, ces ivrognes de rosbifs ! « Sapristi ! Ils étaient chargés comme des baudets ! » me dis-je effarée. En ce cas, ils ont foutrement raison de consommer, ce sera moins lourd au retour. J’enfile jupe et tee-shirt, ramasse mon sac à dos et, après les avoir remerciés chaleureusement en leur disant merci pour leur accueil et promis de leur rendre bientôt une petite visite, je me lève debout. Malgré l’après-midi presque terminé, il fait encore très chaud. Le soleil a dû me taper un peu sur le crâne, parce qu’en me relevant, j’ai soudain ...